Mois : juillet 2013

– Le sourcil secondaire, qui va prendre sa forme et sa position en fonction des émotions intérieures traduites par la mimique.
– Le sourcil tertiaire, âgé, involué, avec la perte de la pilosité́.

Avant de proposer un traitement esthétique, il faut bien comprendre les signes de perception d’un joli sourcil et d’un sourcil âgé́.
Un sourcil jeune est un sourcil harmonieux, fourni, régulier, sans angulation. Un sourcil âgé́ est un sourcil, soit trop haut, soit trop bas par rapport au rebord orbitaire. Il est disharmonieux, avec un angle sur le tiers externe, témoignant d’une contraction du muscle frontal, luttant pour essayer de retenir le visage. Il glisse vers le bas, et les paupières ont tendance à s’alourdir. Chez la femme, le sourcil monte avec l’âge, surtout dans sa partie interne, et descend dans sa partie externe, créant non seulement une angulation, mais un creusement de la paupière supérieure qui est un signe majeur d’âge au niveau du regard.

La compréhension du bénéfice peut prendre du temps, car nous sommes trop souvent victimes d’idées fausses, véhiculées par les médias non professionnels et sites commerciaux (tatouages, maquillage permanent, pigmentations en tous genres…)…

J’aperçois par exemple trop souvent des hommes avec des sourcils trop nets, trop épilés, trop féminins, qui ne correspondent pas à leur visage… Pourtant, ces derniers ne sont pas sans importance, ils font parties intégrante du regard, c’est même eux qui définissent une grande partie de sa beauté …

La toxine botulique remplace la chirurgie dans la plupart des cas, car elle agit au millimètre près sur certains muscles, à condition de bien cibler les points d’injection, et de bien la doser, afin de modifier avec subtilité́ certains détails disgracieux…

La modification de la forme et de la hauteur du sourcil a des effets spectaculaires sur le ressenti de l’âge. Le résultat sera subtil, il le faut, car la beauté se calcule en millimètres …
La ressemblance entre tous ces profils est l’arcade sourcilière en avant et un sourcil net et épais, à l’opposé des croyances populaires…

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Pour s’efforcer de répondre à un maximum de questions, et parce que les médecins passent leur temps à parler du vieillissement, alors, pour une fois, on va s’attarder sur les origines de la médecine esthétique, Health-Aesthetics fait l’état des lieux avec l’aide du Docteur Nelly Danan, médecin esthétique dans le 19ème à Paris.

( Le médecin esthétique : C’est celui qui s’adapte, cultive son réseau, rayonne par sa réputation et fait face aux demandes parfois étranges des patients, avec en priorité, une définition de la beauté… ) 

Nelly Danan – Non, l’attrait pour la beauté est une quête éternelle et intemporelle.
La médecine n’est pas passée esthétique, elle a juste mis le focus sur l’accompagnement en douceur du temps qui passe.
Cela s’inscrit dans une logique globale de santé, de bonne alimentation, d’hygiène de vie et du « bien vieillir » dans une société où l’espérance de vie augmente, repoussant les limites de la longévité…

Elle porte d’ailleurs très mal son nom puisqu’elle se nomme à présent médecine « anti-âge » (et non plus « médecine esthétique »)…

Pour moi, elle pourrait plutôt s’appeler médecine « pour l’âge » car l’anti-âge est un combat perdu d’avance… : Nous prenons un jour chaque jour et une année à chaque anniversaire… C’est une médecine qui accompagne le temps qui passe, et va donc dans le sens de l’âge. Elle ne doit pas contrer le temps mais le protéger. Elle ne doit pas transformer un visage mais en sublimer la beauté tout en finesse…

Nelly Danan – Il y a 20 ans, il n’existait aucun diplôme post-universitaire validant une quelconque compétence en médecine esthétique.

En France, les formations étaient un peu anarchiques et aléatoires, chacun y allant de sa petite expérience.

Personnellement, ma formation a commencé il y a un peu plus de 20 ans par un stage organisé dans une clinique parisienne, puis s’est poursuivie par « compagnonnage », c’est-à-dire formation chez des confrères qui acceptaient de me recevoir à leur cabinet.

Ensuite, ce sont les laboratoires qui ont joué un rôle important dans ma formation, puis bien évidemment, depuis de nombreuses années, des instances plus académiques, telles que les associations médicales et congrès dispensant des formations post-universitaires.

Depuis une quinzaine d’années, il existe de plus en plus de formations encadrant très sérieusement la médecine esthétique.

” Seule la formation à la médecine morphologique et anti-âge est reconnue par le Conseil national de l’Ordre des médecins. Ce DIU , proposé depuis 2 ans dans cinq universités, est ouvert à toutes les spécialités médicales. Ce diplôme vise une prise en charge globale de la gestion du vieillissement qu’il soit intellectuel, affectif, cardiovasculaire, nutritionnel ou encore sexuel. En revanche, les actes à la frontière de la chirurgie esthétique comme les injections de toxine botuliques ou d’acide hyaluronique, et l’utilisation de lumière pulsée leur sont interdits. Seuls 80 médecins peuvent y accéder chaque année après un examen probatoire…

Autre formation possible, celle délivrée par le CNME. « Notre diplôme est le plus complet pour acquérir les compétences nécessaires à la pratique de la médecine esthétique, explique le Dr Charles Gadreau, président du SNME. Dure 2 ans à raison de 3 jours par mois de cours théoriques à Paris, plus des stages pratiques d’une journée à une semaine. A ce jour, nous avons formé 800 médecins à toutes les techniques esthétiques non chirurgicales. Nous aimerions que notre enseignement privé soit reconnu par les autorités françaises “

Dernière possibilité de se former, lors d’ateliers proposés par les laboratoires pour la promotion de leurs produits, et sans cours théoriques. C’est certainement cette méthode-là la plus utilisée, soit pour démarrer, soit pour se former aux nouvelles techniques. “(Source : Medecinews)

Le début des labos, avec les premiers injectables…

Nelly Danan – Inamed, laboratoire américain fabriquant le premier acide hyaluronique HYLAFORM* a été très actif dans la formation des médecins aux injections il y a 20 ans, de même que le labo ayant fabriqué le premier collagène américain (Zyplast*). Les workshops organisés par ces labos étaient très instructifs et apportaient une formation pratique très précieuse.

Le grand tournant pour moi, médecin esthétique français, a été l’arrivée sur le marché du Juvederm en 2000, commercialisé par un labo Français qui se trouvait en plein Paris, le laboratoire Cornéal. Nous avons pu dès lors, bénéficier d’une gamme de plus en plus large d’acides hyaluroniques.
Ensuite, la machine n’a fait que s’emballer et on ne compte plus actuellement le nombre de labos fabricant l’acide hyaluronique.

Aujourd’hui, la médecine esthétique est présente sur tous les fronts, avec la multiplication des techniques qui offrent des réponses aux patients, tout en conservant leur “naturel”, mais au début, il a fallu passer par des “esquisses”, et les premiers patients ont servi de “cobaye”… ? 

Nelly Danan – Il y a eu beaucoup d’erreurs anciennes et/ou passées avec des produits qui n’ont pas tenu leurs promesses ou ont généré des effets secondaires imprévisibles à court, moyen ou long terme.

Toutefois, la concurrence entre les labos génère aussi une course vers l’excellence et la qualité dont les médecins, et par voie de conséquence directe, leurs patients bénéficient en termes de sécurité et de qualité.

Et les enjeux de demain ? Une boucle ou un avenir différent ? 

Nelly Danan – Nul n’est prophète en son pays mais il y a fort à parier que nous ne sommes encore qu’au début d’un phénomène de société à la croissance exponentielle.
Pour moi, le premier enjeu de demain face à cette progression explosive est de garder la tête froide et de miser encore et toujours sur la qualité, la sécurité de nos actes. 

Qui a donné le “la”, patient ou praticien ? La médecine a-t-elle bien évolué ? A-t-elle su garder son éthique ? 

La médecine essaye de se calquer à une image de beauté idéale, mais respecte-t-elle toujours cette promesse face au patient ? … 

Nelly Danan – Les demandes des patients deviennent de plus en plus précises, voire pressantes mais le rôle du médecin est de poser les bonnes indications en utilisant les bons produits. Nous ne sommes ni des exécutants, ni des supermarchés vendant tel ou tel acte avec tel ou tel produit. Nous sommes décisionnaires en notre âme et conscience, des actes que nous réalisons.

Il n’existe pas de beauté idéale…
Prôner ce concept reviendrait à transformer les humains en robots ou en mutants. Chaque visage est unique et chaque acte esthétique doit composer avec cette unicité afin de sublimer la beauté et la grâce de chacun.

Et la chirurgie amie ou ennemie ?

Nelly Danan – La chirurgie n’est pas l’ennemie mais le prolongement et la partenaire de la médecine esthétique. Chaque technique a ses limites, nous ne sommes ni tout-puissants ni omnipotents. Nous devons récuser un acte esthétique médical quand il est superflu ou non indiqué, et savoir passer la main au chirurgien lorsque c’est nécessaire, dans l’intérêt du patient qui reste toujours notre priorité absolue.

Prendre son temps, consommer intelligemment, en faire moins mais mieux. L’industrie du soin a vécu sur des archétypes assez datés : La science, le rêve, la perfection, la jeunesse. Elle se devait d’être complexe pour être crédible. Surtout le secteur de l’anti âge, pour lequel les attentes étaient fortes. Celles-ci justifiaient la course à la nouveauté, la surenchère d’actifs, la perfection promise par des experts scientifiques qui exposaient les modes d’action complexes de leur formule. Le discours correspondait à l’état d’esprit d’une époque, peut-être trop matérialiste…

Mais aujourd’hui, la tendance est au sur mesure, offrir une approche globale et complète pour la qualité et l’aspect de la peau en ne traitant pas seulement la cause d’un dysfonctionnement, mais plutôt le déséquilibre qui est le facteur majeur d’une peau en mauvaise santé, donc en mauvais état, avec un protocole thérapeutique et un programme quotidien, pour pérenniser le résultat.

C’est parfaitement dans cette logique, qu’il y a presque 30 ans, le Dr Zein Obagi révolutionnait les soins dermatologiques en introduisant le concept de construction et de maintien d’une peau saine. Cette approche a permis de créer des produits et des soins dermatologiques reconnus et approuvés par les praticiens du monde entier. Zo Skin Health bouleverse l’approche standard et conventionnelle du cosmétique classique, en créant un nouveau langage. C’est ainsi, que le “cosméceutique” s’impose en offrant des solutions complètes pour le maintien d’une peau parfaitement saine.

En 2007, Zo Skin Health a développé, sous la direction du Dr Obagi, des solutions orientées sur les résultats non discutables, permettant ainsi d’obtenir une parfaite santé cutanée en traitant toute personne qui souhaite obtenir une peau plus saine au quotidien.

Avec des protocoles, clés en main, pour le praticien et le patient, afin de suivre une ligne claire et précise :

Zo Médical offre des produits, protocoles et traitements, permettant de traiter divers troubles cutanés et pathologies chroniques.

L’analyse du visage et du besoin est établie par un praticien. Ainsi, la création d’un protocole thérapeutique personnalisé est imposé avec des recommandations à suivre afin de traiter divers troubles cutanés et pathologies telles que :

– Les troubles pigmentaires.

– L’excès de sébum.

– Les lésions provoquées par le soleil.

– les troubles de l’unité pilo-sébacée.

– Les autres troubles inflammatoires.

Une large gamme de produits permettant de conserver les résultats obtenus grâce à des traitements thérapeutiques, et contribuant à une peau parfaitement saine au quotidien, en garantissant une protection optimale contre les facteurs de vieillissement. C’est ainsi, que Zo Skin Health sera l’idéal au quotidien… 

Des résultats cliniquement prouvés, des solutions permettant de conserver une peau saine, forte, douce, ferme, uniforme et parfaitement hydratée. Voilà le nouveau standard dans l’approche sur mesure.

POUR ALLER PLUS LOIN DANS L’EXPÉRIENCE / 

Le Dr Zein Obagi a conçu le cercle ZO Skin Health, afin de représenter l’approche thérapeutique, quotidienne et préventive, dans le but d’obtenir et de conserver une peau parfaite.

Cette méthode illustre l’utilité optimale des protocoles et produits

Soins thérapeutiques : Traitent les troubles cutanés et pathologies spécifiques.

Entretien : Permet de prolonger les résultats obtenus par les traitements thérapeutiques.

Soin quotidien : Permet de conserver une peau saine et tonique.

Produits préventifs : Permettent de protéger la peau du vieillissement.

EN CONCLUSION /

Zo Skin HEALTH offre un contrat de confiance avec votre praticien, par le suivi personnalisé, afin d’obtenir le meilleur résultat, naturellement, rapidement, tout en étant une parfaire complémentarité avec vos actes médico-esthétiques.

Le monde du cosméceutiques instaure cette approche, entre luxe, médecine et sur-mesure… Parce chaque peau mérite perfection ! 

Je pense ainsi, que Zo Skin Health s’avère être la solution idéale dans cette course à la perfection. Car aujourd’hui, le consommateur a une vraie culture beauté, et décrypte très vite les discours trop marketing. Le consommateur veut de la personnalisation et de l’accompagnement, voilà la promesse de Zo Skin Health.

Focus sur la crème Restoracalm

Le besoin : Réduire l’inflammation de la peau en stimulant la restauration de la barrière cutanée.
– De multiples bénéfices : Apaise la peau rapidement, réduise les rougeurs, renforce la barrière cutanée et répare l’ADN.
– Des ingrédients clés issus des dernières technologies, une finition non grasse pour une application sur tous types de peau.

Je le recommande par exemple en post peeling, après un micro needling, et même en complément d’un soin “agressif” comme le rétinol.

Focus sur la crème Retamax 

Le besoin : Prévenir et renverser les signes de l’âge.
La tendance est de privilégier un actif connu, qui a déjà fait ses preuves. C’est ainsi que le rétinol est utilisé dans cette formule, l’encapsulation et la formulation ont été pensées pour le rendre beaucoup moins agressif, des actifs l’accompagnent comme des antioxydants, des protéines, pour l’aider à prévenir et corriger les signes du temps.
– Le rétinol (Vitamine A) est reconnu pour stimuler la reconstruction de la peau, afin de la rendre plus ferme, diminuer les rides et obtenir un teint plus éclatant.
– Les protéines biomimétiques (intégration parfaite avec la peau), activent le processus naturel de régénération cutanée.
– Les cellules souches végétales apportent une action antioxydante et une prise en charge contre l’inflammation qui se trouve être la principale cause du vieillissement cutané.

Je le recommande en sortie d’été, et pour les peaux sensibles, en complément avec la crème “Restoracalm”.

Contribuer à une santé cutanée optimale, telle est la promesse… 

– Pour les consommateurs : Auprès de votre praticien esthétique, afin d’établir le bon protocole ainsi que de l’associer avec des actes médico-esthétiques.

– Pour les praticiens : Wigmore Médicale France offre des sessions de formation tout au long de l’année et vous garantit des programmes qualitatifs et un accès privilégié à la gamme de produits cosmétiques.

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(  Facteurs de croissance : Il s’agit de protéines sécrétées dans le milieu extracellulaire, activant la croissance et la multiplication des cellules.
Selon leur structure, Il en existe différents types, mais cet article va s’intéresser à l’un d’entre eux : l’EGF=facteur de croissance épidermique )

Dès 30 ans, le nombre d’activateurs cellulaires présents dans la peau diminue. La peau se régénère alors moins fréquemment et commence à paraître moins éclatante et plus ridée…

Comme un retour à l’origine, dans une terre volcanique, donc vierge… Pourtant, une équipe de chercheurs, et le Docteur Björn Örvar passionné par la recherche et la biotechnologie, ont développé et mis au point une avancée spectaculaire.

Docteur Björn Örvar

Health-aesthetics a envie de vous faire découvrir une mini ligne de soin composée d’un sérum presque magique… Lors des tests d’efficacité, il a démontré des performances cosmétiques inattendues : une peau plus éclatante, moins de rides, plus de fermeté, plus d’hydratation… dès les premières semaines d’application !

Il contient la pureté absolue de seulement 7 ingrédients, dont ce fameux facteur de croissance (EGF), qui aide la peau à produire plus de collagène et d’élastine. Cette protéine très pure est issue de plants d’orge cultivés dans la pierre volcanique, protégés par des serres alimentées par l’eau des nappes souterraines islandaises…

L’EGF OBTENU PAR LE GÉNIE BIOTECHNOLOGIQUE, SI PROCHE DE CELUI DE L’HOMME ? 

Les activateurs cellulaires EGF sont développés, produits et raffinés en collaboration avec Orf Genetics (l’un des pionniers dans le domaine génétique concernant les facteurs de croissance artificiels provenant de l’orge).

Orf Genetics a élaboré, au cours des dix dernières années, une méthode unique d’expression et de production génétique qui transforme les grains d’orge en mini fabriques d’activateurs cellulaires EGF, très proches de ceux de l’homme, et sans risque….

Cet extrait d’orge va servir de leurre sur la peau. Les cellules cutanées, pensant que l’extrait d’orge est leur propre hormone de croissance, vont être plus réceptives aux stimuli, et, fonctionner à plein régime… pour une peau plus éclatante, repulpée, et un teint plus lumineux.

Lancé en 2010 en Islande, le sérum EGF s’est vendu à 33 000 exemplaires en douze mois, et 30% des femmes Islandaises l’utilisent dés la sortie !

Le Sérum est une innovation sur le marché des cosmétiques : Il contient des activateurs cellulaires EGF, très proches de ceux de l’homme et obtenus à partir de plantes.

Une étude scientifique et indépendante menée par le Dr Martina Kerscher, professeur en Sciences Cosmétiques à l’université de Hambourg, démontre l’effet anti-âge du facteur de croissance EGF de BIOEFFECT.

« Grâce à la biotechnologie moderne, il est désormais possible de reproduire l’EGF présent dans notre peau, dans des plants d’orge. Je suis réellement impressionnée par les résultats de notre étude. Ils montrent clairement que, au bout de huit semaines d’utilisation seulement, l’application d’EGF créé à partir de plantes et semblable à l’EGF humain, a un effet anti-âge significatif sur la densité de la peau et la profondeur des rides », a déclaré le Dr Kerscher.

L’efficacité du sérum Bioeffect est telle que rien que par le bouche à oreilles, 20% des Islandais l’avaient déjà adopté 5 mois seulement après son lancement !

Focus sur le sérum EGF BIOEFFECT 

139 euros les 15ml

Rendre la peau visiblement plus fraîche, plus éclatante, et mieux hydratée en inhibant le processus de vieillissement… 

Il a été développé par des dermatologues et biochimistes mondialement reconnus. Il active les processus biologiques à l’intérieur de la cellule, stimulant le processus de régénération de la peau, et améliorant ainsi sa texture et son apparence globale. Ce sérum anti-âge améliore l’apparence et la santé de la peau, en l’aidant à réparer ses propres cellules. Pour rappel, son ingrédient clé, le facteur de croissance épidermique (EGF), est une substance qui se trouve naturellement dans la peau.

Son utilisation régulière, une à deux fois par jour, prévient le vieillissement cutané, et donne des résultats prodigieux, visibles en quelques semaines.
Il convient à tous types de peau.

– Efface les signes de vieillissement.
– Illumine et donne de l’éclat.
– Hydrate en profondeur.
– Élimine les zones sèches.
– Embellit l’aspect de la peau.
– Élimine les zones sèches….

Le seul EGF à usage cosmétique, issu de plantes

Health-aesthetics retiendra surtout que le sérum contient uniquement des ingrédients ultra performants, une formule minimaliste réduite à l’essentiel, et une charte irréprochable ! Dans le choix du soin, je tiens à préciser que l’efficacité de la molécule EGF dépend de sa structure précise et délicate, qui peut être facilement détruite par les divers produits chimiques contenus dans les produits de soin de la peau traditionnels. C’est pourquoi, Bioeffect a fait le choix de pureté dans ses produits.

Les activateurs cellulaires, comme nouvelle révolution en cosméceutiques, ou la formule de l’éternelle jeunesse ? 

Sif Cosmetics (fabricant) : Une entreprise de cosmétiques innovante, basée en Islande, créée en 2009, qui s’appuie sur les recherches en biotechnologie menées depuis 2001 par Orf Genetics, sa société-mère.

Sif Cosmetics élabore et commercialise des produits de soin pour la peau, issus de la science, avec comme promesse, de l’efficacité, de la sécurité et du sérieux. « Il s’agit également de la première et seule entreprise au monde, à proposer à l’industrie cosmétique une sélection de facteurs de croissance très proches de ceux de l’homme et obtenus à partir de plantes … évitant ainsi de recourir aux systèmes de production traditionnels, utilisant des cellules bactériennes ou animales ». Le Dr. Björn est le fondateur et le PDG de Sif Cosmetics…

Poursuivre l’aventure : http://www.bioeffect.fr

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Alors, je me suis immergé dans une journée très ” esthétique ” organisée par le célèbre laboratoire espagnol MESOESTETIC.

Joan Carles Font, fonda en 1984 en Espagne, la société Mesoestetic qui à ce jour, rayonne à l’international avec un fort engouement auprès des praticiens et des professionnels, en proposant une gamme médicale, une gamme professionnelle, une gamme consommateur et une gamme de dispositifs médicaux (appareils….).

Elle est spécialisée dans le développement, la fabrication et la commercialisation :
– de médicaments topiques.
– de dispositifs et traitements médico-esthétiques.
– de cosméceutiques et de nutraceutiques.

Ce qui me plait, c’est que Mesoestetic accorde une grande importance à la recherche, la qualité et la proximité avec ses partenaires, mais aussi avec les patients, en leur offrant une sécurité, grâce à la présence, en permanence, au sein des laboratoires de développement, et au suivi annuel de plus de 1250 patients.

Un évènement qui s’est déroulé à deux pas de la célèbre Bastille, nichée dans une impasse, un lieu intimiste, parisien, mais sans le snob juste, le chic et le professionnalisme des invités.
Médecins, dermatologues ont débattu, lors d’une conférence, sur deux principaux piliers de la médecine esthétique.

La mésothérapie : présentée par le Docteur Françoise George, une gamme médicale CE de 11 références.

La plus large gamme de mésothérapie se nomme Mesohyal, elle offre une grande sécurité (normes très strictes, CE classe 3 garantissant l’utilisation d’un système complet d’assurance de la qualité de tous les procédés de conception, de fabrication…) et répondant à des nombreuses indications pour le corps ou le visage afin de corriger, de manière personnalisée, le vieillissement cutané, les altérations, en améliorant la peau de manière progressive et durable, en association avec d’autres traitements esthétiques, comme par exemple juste après un peeling léger pour optimiser le résultat.

L’importance dans un acte médico esthétique est le diagnostic et le sur-mesure. Voici ce qui est intéressant dans cette gamme, le large choix d’actifs et de cocktails avec, en fil rouge, l’acide hyaluronique, puissant hydratant, et composant essentiel de la peau. Pouvoir combiner entre eux les actifs après un diagnostic précis du praticien, afin d’élaborer un protocole personnalisé correspondant à votre besoin, et surtout, sans éviction sociale, avec une séance rapide (20 min).

Focus sur l’hydratation avec le Mesohyal Hyaluronic 

Une utilisation individuelle ou combinable avec toute la gamme, pour un cocktail personnalisé.
Un acide hyaluronique (45 mg) non volumateur qui nourrit et hydrate en augmentant l’élasticité, tout en réduisant les ridules.

Avant / Après

LA QUALITÉ CUTANÉ S’AVÈRE PRIMORDIALE, LES PEELINGS S’IMPOSENT / 

Une Gamme médicale de 21 références, sûre et efficace, mono substance ou avec des acides combinés, présentée par le Docteur Laurence Barry, Médecin esthétique à Compiègne.

ÉTAT DES LIEUX DES PEELINGS, DERNIÈRES GÉNÉRATIONS / 

Prise en charge des différentes altérations cutanées (taches / acnés / photovieillissement…).

Des acides, des actifs, des protocoles qui vous rajeunissent visiblement !

D’ABORD, C’EST QUOI UN PEELING CHIMIQUE ? 

Des mélanges intelligents et novateurs comme le “phenTCA“, la précision du TCA avec la puissance du phénol.
Le point fort de Mesoestetic, est “d’encadrer” l’acte, en proposant aussi bien des produits pré et post peelings, pour le praticien et le patient à domicile.

Focus sur le peeling ” modified Jessner”

Peeling coup d’éclat, agissant sur les taches et les premiers signes de vieillissement cutané, comme le photovieillissement, les ridules, les pores dilatés, perte de fermeté… Sans éviction sociale, un teint rosé et un épiderme purifié dès la première séance…

Grâce à un juste mélange :
Acide salicylique – Un puissant effet kératolytique (assainit l’épiderme), anti-inflammatoire, antivieillissement…
Acide lactique – Stimule l’épaississement de l’épiderme et du derme. Favorise également la concentration d’acide hyaluronique de la peau, afin de la rendre plus ferme et mieux hydratée.
Acide citrique – Exfoliant, antioxydant et antivieillissement.

On peut influencer ses expressions par son mode de vie (calories, alcool, tabac, sommeil…). Un gène modifié peut ainsi être alors plus ou moins « éteint » ou « activé ». Un gène isolé est rarement responsable d’une maladie. Ce sont généralement des combinaisons de gènes, des groupes, qui vont par exemple être nécessaires pour produire un caractère.
Un gène est donc un réseau, où il apparaît comme un élément d’une chaine et ses interactions sont nombreuses.
On sait que 90% des cancers viennent de notre environnement !

Sans difficulté, mais juste avec du bon sens, remettons les épices sur le devant de la scène. En cuisine, elles participent à la diminution des doses de sel, de graisses et de calories tout en apportant plus de goût aux plats. Mais elles ont aussi la faculté d’augmenter le métabolisme et la satiété, de réduire les risques cardiovasculaires.
Nous avons découvert qu’un mélange d’épices ajouté à un repas riche en lipides (graisses) diminuait l’insuline de 21% et le niveau de triglycérides de 31% face à un même repas sans épices.
Ce fameux cocktail est composé de cannelle, curcuma, origan, romarin, ail, clou de girofle, poivre noir et paprika, ce même mélange a réussi également à augmenter les défenses antioxydantes de 13%.

Focus sur quelques épices – 
La cannelle : Améliore les niveaux de glucose (sucre) dans le sang, la sensibilité de l’insuline, et possède une grande propriété antioxydante.
Le gingembre : Anti-inflammatoire, aide à combattre certains virus.
Le clou de girofle : Puissant antioxydant, il combat les bactéries et les virus avec une action anti-inflammatoire.
Le paprika : Protège contre les dommages faits aux cellules.
Le sel de cèleri : Riche en fer et en calcium, légèrement amer, exalte les goûts.
Le cumin, le safran, le piment, les poivres …. Adoptent un super score antioxydant.

La beauté du visage est souvent associée à une bonne alimentation, qui apporte à la peau, aux os et aux muscles du visage tout ce dont ils ont besoin.
Nous sommes donc ce que nous mangeons !
Si votre alimentation et votre mode de vie sont déséquilibrés, si vous abusez de l’alcool, si vous fumez…, c’est évident, cela se voit sur votre visage. Mais vous pouvez corriger ces excès par une meilleure façon de vous alimenter, avec des résultats rapidement visibles !

Un joli visage se traduit par des volumes en place, des bonnes proportions, une peau souple et ferme avec une texture et un teint impeccable.
Mais au fil des années, les traits se creusent, les joues tombent… Evidemment, la vie moderne n’arrange rien, mais vous pouvez influencer cela.

Manger plus de protéines, riches en acides aminés qui facilitent la cicatrisation des cellules.
– Pour la souplesse de la peau, la vitamine C (agrumes, fruits rouges…), la vitamine D (suppléments, la sardine, le hareng…), la vitamine A (carottes, abricots…), la vitamine B3 (pain complet, viande blanche, œufs, avocats…), le Zinc (huîtres, œufs, coquillages…) seront vos alliés.
– Si la peau est trop pâle, alors le fer sera votre ami.
– Si des taches brunes apparaissent, penser Pyctogénol (un puissant antioxydant sous forme de supplément).
– La peau sèche et déshydratée a besoin d’huile de bourrache, de vitamines A et C, de jus de légumes et bien sûr, de beaucoup d’eau.
– Si le visage est crispé, le magnésium, associé à la vitamine B6 et au GABA, peuvent faire l’affaire, parfois…
– En cas d’eczéma, il faut surtout faire attention au gluten et aux produits laitiers.

Une toxine, des rides, des sourcils, des pattes d’oie, des patients, patientes, praticiens, laboratoires… Tout un petit monde qui passe leur journée à parler de rides, de regards sombres, de rajeunissement et même de jeunesse !

La toxine botulique est connue depuis de nombreuses années. Son origine étymologique vient du 19ème siècle, où la maladie du botulisme est décrite chez des patients ayant mangé de la charcuterie “botulus”.

– 1950 : Brooks démontre que la toxine botulique injectée dans un muscle bloque la libération de “l’acétylcholine” (un messager) par les terminaisons nerveuses, provoquant un relâchement temporaire du muscle traité.

– Mais c’est seulement en 1973 qu’on a l’idée de l’utiliser à des fins thérapeutiques. Cette année-là, un ophtalmologiste du nom d’Alan Scott a l’idée d’utiliser la toxine botulique pour corriger le strabisme.

– 1989 : le Botox, toxine botulique, commercialisé par le laboratoire Allergan, est approuvé par la FDA aux USA pour traiter les patients en ophtalmologie.

– 1992 : Carruthers, dermatologue, et sa femme eurent les premiers, l’idée d’utiliser de très faibles doses de cette toxine dans un but esthétique : combler les rides du front.

– Depuis 1996, on injecte, ce qui est communément appelé le “Botox”, pour réduire les rides d’expression musculaire.

– 2003 : les traitements avec la toxine botulique s’élevaient au nombre de 450.000, soit 47% de plus qu’en 2001, et depuis, ce chiffre n’a cessé d’augmenter pour devenir aujourd’hui l’un des premiers actes.

La toxine botulique est utilisée depuis plus de 25 ans dans divers traitements thérapeutiques, puis en 2003 elle reçoit une autorisation de mise sur le marché en France pour l’utilisation en esthétique. Elle traite les rides en prévention ou en curatif, elle peut modifier la hauteur d’un sourcil, ouvrir un regard trop sombre…

Il s’agit avant tout d’un médicament, elle doit donc, être produite par un laboratoire pharmaceutique avec de nombreuses études strictes et un très long processus d’élaboration de mise sur le marché. Celui-ci est réparti en quatre étapes :

1 – La phase de recherche –
Identifier une molécule associée à un problème humain, avant d’établir un premier profil d’innocuité (non nocif) et d’efficacité.

2 – La phase de développement –

3 – La phase clinique – 
Le produit sera testé sur une succession de groupes de patients (20 à 80), puis (100 à 300), puis (1000 à 3000), afin de confirmer l’efficacité du produit, de surveiller ses effets secondaires, de faire des comparaisons et de récolter des informations.

4 – La phase de mise sur le marché –
Les résultats des études cliniques et précliniques seront compilés et, accompagnés de la description du processus de fabrication, soumis à l’autorité règlementaire. Si cette instance admet que les données prouvent la qualité, l’efficacité et l’innocuité, alors elle autorise la mise sur le marché.

Une fois sur le marché, les effets secondaires doivent faire l’objet d’une surveillance constante et de rapports à l’autorité règlementaire, dans le but d’ajouter de nouvelles indications ou pour améliorer des formules.

Elle est très faiblement concentrée, et purifiée pendant la fabrication, donc, elle ne présente aucun risque.
Seulement, comme tout médicament elle peut provoquer des effets indésirables, comme :

– Des douleurs, gêne, picotements, bleu, parfois des maux de tête… Ces effets secondaires apparaissent rapidement mais ils sont passagers et légers.
Il peut arriver également que la toxine botulique entraîne un abaissement temporaire de la paupière supérieure, encore une fois, l’effet est passager.

Contrairement aux idées reçues, les chirurgiens esthétiques et les dermatologues ne sont pas les seuls à pouvoir injecter la toxine botulique mais également les médecins esthétiques ! 

Les impératifs du côté du patient –

La toxine botulique est déconseillée avant et pendant la grossesse, et également pendant l’allaitement.
Avant la séance, il est important de ne pas prendre :
– des antibiotiques prescrits pour une infection.
– des médicaments myorelaxants… 

Une “retouche”, généralement gratuite, peut être nécessaire entre 10 et 15 jours.
Par contre, l’intervalle entre 2 séances doit être au minimum de 3 mois. Généralement, 2 séances par an sont suffisantes pour garantir un résultat “naturel”.

Les impératifs du côté du praticien –

Un flacon de toxine botulique est destiné à un seul patient, donc, soyez vigilant. Le praticien doit conserver le numéro de lot du flacon. Attention : Seul les produits ” vistabel ” “ azzalure ” et ” bocouture ” peuvent être injectés en France.

J’AI ENTENDU DIRE QUE LA TOXINE BOTULIQUE A TUÉ LE LIFTING FRONTAL… ÊTES-VOUS D’ACCORD ?

DANS LA PLUPART DES CAS LA TOXINE EST LE TRAITEMENT LE PLUS SIMPLE ET EFFICACE POUR LES RIDES FRONTALES.
LAISSANT EFFECTIVEMENT PEU DE PLACE AU LIFTING FRONTAL
DE NOMBREUX CHIRURGIENS REALISANT UN LIFTING CERVICOFACIAL COMPLETENT LEUR ACTE PAR UNE INJECTION DE TOXINE BOTULIQUE JUSTE APRES L INTERVENTON.

A-T-ELLE BOULEVERSÉ VOTRE MÉTIER ?

OUI . JE PENSE POUVOIR DIRE QUE LA TOXINE BOTULIQUE EST L’ARME LA PLUS EFFICACE DANS L’ESTHETIQUE MEDICALE.
SÉCURITE REPRODUCTIBILITÉ EFFICACITE ET ADHESION DES PATIENTS DANS PLUS DE 90% DES CAS !
LE RESULTAT EST BLUFFANT LORS DE LA PREMIERE INJECTION. IL S’AGIT AUSSI D’UN TRES BON TRAITEMENT PREVENTIF DES RIDES FRONTALES DU LION ET DE LA PATE D’OIE DES LA TRENTAINE

A-T-ELLE CRÉÉ LA PROFESSION DE DERMATOLOGUE ESTHÉTIQUE ?

NON . LA TOXINE BOTULIQUE EST SIMPLEMENT UN OUTIL DE PLUS, QUI A L’AVANTAGE DE TENIR SES PROMESSES EN TERME DE RESULTATS.
UN OUTIL QUI APPORTE SATISFACTION ET FIDELITE DE LA PART DES PATIENTS MAIS LA MEDECINE ESTHETIQUE EST UN VASTE DOMAINE DONT ON NE PEUT RESUMER L’EMERGENCE A LA TOXINE BOTULIQUE UNIQUEMENT

DE QUELLE PRATIQUE DISPOSIONS-NOUS AVANT L’UTILISATION DE LA TOXINE BOTULIQUE ?

VOUS AVEZ EVOQUE LE LIFTING FRONTAL,LES FILLERS PEUVENT ETRE UTILISES AVEC DES RESUTATS SOUVENT ASSEZ DECEVANTS NOTAMMENT SUR LES RIDES FRONTALES. CONCERNANT ES RIDES DE LA PATE D’OIE NOUS OBTENONS DES RESULTATS SATISFAISANT AVEC LES PEELING TCA ET LASER FRACTIONNES
ABLATIFS

ET DANS L’AVENIR, EN QUOI PEUT-ELLE S’AMÉLIORER ?

LES MEDECINS S’AMELIORERONT EN AFFINANT LEUR PRATIQUE… CETTE AMELIORATION EST CONDITIONNEE PAR UNE SOLIDE FORMATION DE BASE, DE BONNES CONNAISSANCES ANATOMIQUES, DES FORMATIONS CONTINUES ET DES ÉCHANGES AVEC DES EXPERTS.

La beauté est complexe… Nous savons qu’elle passe par un visage lumineux, donc, qui reflète la lumière. Vous voyez ces visages rayonnants qui inspirent la bonne santé ? Eh bien, cela est signe de beauté ! 

Et en plus, nous pourrions jouer sur plusieurs autres facteurs en même temps, comme soigner des pathologies cutanées … Cela ne représente pas un rêve, mais tout simplement le micro-needling par MesoPen !

LE BESOIN / 

Agir sur plusieurs altérations, de manière sûre et sans éviction sociale….
– Traiter les ridules, rides, le manque d’éclat, le relâchement cutané, et bien plus….
– L’acné et les cicatrices d’acné.
– Les vergetures.
– Traitement de l’alopécie en stoppant la chute et stimuler la repousse des cheveux.

LA RÉPONSE DE LA MÉDECINE ESTHÉTIQUE / 

Différentes techniques et approches existent…
– La mésothérapie manuelle (injection à l’aide d’une fine aiguille, de plusieurs points, superficiellement), n’offrant que le bénéfice des actifs.
– La mésothérapie au pistolet (un rythme d’injections supérieur, offrant par conséquent une meilleure densification de la peau).
– Le micro needling avec le roller (appareil muni de petites aiguilles qui aident à faire pénétrer les actifs, mais n’offrant pas de réglages sur la profondeur d’action, et surtout, il crée des effractions cutanées qui apportent une plus longue cicatrisation).
– Le micro-needling avec le stylo, offrant une double stimulation, sans effets secondaires, grâce à une perforation verticale afin de ne pas endommager la peau. Cette technique est maîtrisée électroniquement pour une parfaite sécurité et une profondeur régulière.
Les effets secondaires sont nettement réduits, avec moins de sang, peu d’éviction sociale, et aucun risque de cicatrices par rapport au roller.

Focus sur le MesoPen par Mesoestetic 

Un traitement efficace pour le resurfacing et la stimulation du derme 

Les cosmétiques restent en surface de la peau sans réellement agir au “cœur” du problème. Ils ne possèdent donc pas une réelle efficacité de prévention, mais peuvent servir comme “complément” pour embellir la peau. 

Ainsi, l’idée d’injecter des actifs au cœur de celle-ci prend tout son sens. Mais encore mieux, car le MesoPen offre une action supplémentaire de redensification avec l’action mécanique.

La technique –
Elle est simple, créer des micro-canaux dans la peau, à différentes profondeurs, afin de faire pénétrer des actifs et de redensifier la peau, avec l’aide d’un appareil de perforation automatique en forme de stylo, muni d’un embout garni de petites aiguilles réglables en fonction de la zone d’application.
Une double action : – Une activation naturelle des fibres de collagène et d’élastine pour une meilleure régénération cellulaire, donc une peau plus dense, plus belle, plus jeune.
– Une meilleure absorption des actifs, grâce aux micro-canaux créés par les aiguilles, ainsi, plusieurs pathologies peuvent être traitées.

La séance –
Dans un but d’apporter la meilleure solution, le praticien devra examiner votre peau afin de choisir les actifs appropriés au bon protocole, et de déterminer le nombre de séances nécessaires.
Il faut savoir que, généralement, 5 séances espacées d’une semaine à 15 jours, avec une séance d’entretien tous les 6 mois est recommandée.
La séance dure environ 15 minutes. Le praticien nettoie et désinfecte la peau, puis il applique une solution, avant de passer à plusieurs reprises le “MesoPen”, et réapplique la solution qui pénètre mieux, grâce aux micro-canaux creusés de manière indolore par le MesoPen.

À savoir – Après la séance, il est recommandé d’éviter l’exposition à une source de chaleur ou aux UV.

Les résultats –
Au fil des séances, nous pouvons constater une nette amélioration de la qualité et un lissage de la peau, avec une diminution des rides, une redensification du derme pour une peau plus ferme, un teint lumineux et uniformisé, et des pores resserrés. Cette technique permet également de faire disparaître les cicatrices d’acné et vergetures et agir sur le cuir chevelu de manière efficace.
En réalité, les actifs sont absorbés efficacement pour une action en profondeur.

Dr J.M Auque

Dr J.M Auque

Pré-post intervention –
Cette technique ne nécessite aucune préparation. Après la séance, le praticien peut appliquer des LED afin d’accélérer la régénération des tissus.
Il est important de ne pas s’exposer au soleil et d’utiliser une protection solaire SPF50.

Une technique combinable –
Le MesoPen peut être associé, lors de la séance, à une autre injection ou à un peeling léger/moyen afin de potentialiser le résultat. Pour cela, le praticien pratiquera le peeling avant le MesoPen, une petite éviction sociale sera peut-être envisageable, et une protection solaire pendant 1 mois minimum obligatoire.

Focus sur la gamme Mesohyal

Des actifs, des cocktails, des protocoles, des réponses, des besoins pour une solution globale ! 

La mésothérapie est une technique ancienne, consistant à injecter des actifs au cœur de la peau à l’aide de plusieurs micro-injections superficielles, afin de corriger des pathologies (vieillissement, acné, taches, sècheresse, manque de souplesse…). 

Agir au plus près du problème avec des actifs ciblés… 

Aujourd’hui, Mesoestetic offre la plus large gamme de produits injectables pour la mésothérapie (classe 3 médicale), afin de personnaliser chaque traitement en combinant les actifs entre eux, pour obtenir le meilleur résultat, rapidement, et de manière durable. Chaque solution renferme de l’acide hyaluronique non volumateur comme fil rouge, car il est essentiel à la peau, par son pouvoir de retenir plusieurs centaines de fois son poids en eau, afin d’hydrater en profondeur, et soutenir les fibres d’élastine et de collagène.

Focus sur le complexe NCTC109

De l’acide hyaluronique, des composants revitalisants (vitamines, minéraux…) afin d’intervenir sur la réparation cellulaire, de prévenir du vieillissement (idéal dès 25 ans) et de tonifier la peau en améliorant le teint. 

Focus sur le produit : « oligo-élément »

9 oligo-éléments mélangés dans de l’acide hyaluronique pour activer les processus du métabolisme de la peau, et stimuler la croissance et les fonctions biologiques cutanées, améliorant ainsi la structure de la peau, prévenant et réduisant les signes du vieillissement. 

Focus sur le produit : « vitamine C »

De l’acide hyaluronique et de la vitamine C hautement concentré (20%), pour apporter une action sur plusieurs facteurs. Prévenir et corriger les dégâts oxydatifs dus aux expositions solaires sur les cellules, en apportant une protection antioxydante afin de les protéger des radicaux libres et des UV, éclaircir et uniformiser le teint en ralentissant la synthétisation de la mélanine et d’accélérer la production des fibres d’élastine et de collagène, pour une peau plus ferme et plus hydratée.
Cela en fait un actif très intéressant pour embellir et prévenir du vieillissement.

EN RÉSUMÉ /

J’ai toujours défendu l’idée que la qualité cutanée était aussi importante que les volumes, car c’est elle qui apporte au visage la bonne mine, en reflétant la lumière… J’aime cette approche, multicentrique qui permet d’agir sur une grande quantité d’indications, de manière efficace et sûre, en procurant au cœur de la peau des principes actifs, validés scientifiquement, et dans le même temps, apporter un réel resurfacing sur le long terme, en stimulant le collagène et l’élastine qui sont les 2 piliers de la jeunesse de la peau…

Le point de vue du Docteur Thierry Leva, Dermatologue à Toulon

QU’EST CE QUE CETTE TECHNIQUE A VRAIMENT D’INDISPENSABLE ? 

La mésothérapie consiste en des injections de petites quantités de principes actifs de manière très superficielle à une interface.
Son efficacité est reconnue, elle est d’ailleurs validée comme traitement contre la douleur par l’ANAES. Son utilité dans la médecine esthétique et anti-age est indiscutable.
C’est la seule technique permettant de délivrer des principes actifs validés pour leur efficacité à l interface derme-épiderme.
Les avantages sont multiples : traitement personnalisé pour chaque type de peau en fonction du cocktail composé par le médecin, efficacité indiscutable car les principes actifs sont déposés à la profondeur où ils peuvent vraiment agir ( contrairement aux topiques )
La technique peut être pratiquée à l aiguille, au pistolet , le stylo mesopen assure une répartition parfaitement homogène à une profondeur ciblée ce qui rend le soin efficient, indolore et reproductible.

Le microneedling peut être précédé d’un peeling vecteur favorisant la pénétration des principes actifs et permettant d’associer effets hydratants, anti-ages, antioxydant aux effets peelings superficiels (réorganisation des fibres de collagènes du derme superficiel)
Cette technique est incontournable dans la prise en charge globale de tout patient désireux d’obtenir une amélioration de sa peau à tous niveaux ; teint texture densité …

Il complète tous les autres actes de médecine esthétique, la satisfaction des patients est très élevée. Une technique efficace , sans risque, adaptée à tout âge, tout type de peau présentant un bon rapport qualité/prix, je pense , Mr Josse que nous pouvons affirmer que le microneedling est une technique indispensable !

Contact communication : aesthetics75@gmail.com

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A travers les âges, l’aloès a été vénéré par de nombreuses civilisations et cultures, tant et si bien qu’il a acquis le nom de plante divine. A l’heure actuelle, personne ne peut vraiment dire de quand datent les premières traces d’utilisation de l’aloés en tant que plante médicinale. Cependant, on dispose de nombreuses preuves qui montrent qu’il est utilisé depuis plus de 5000 ans, dans des régions du monde aussi éloignées les unes des autres, telles que le sud de l’Europe, l’Asie, le nord de l’Afrique, l’Amérique et l’extrême Orient.

Entre le 15ème et le 17ème siècle après J-C, la plante tombe en désuétude. Elle est seulement utilisée en Europe et en Amérique du Nord sous forme de poudre avec pour seule indication le traitement de la constipation car le gel s‟oxyde très vite une fois extrait

Au 17ème siècle, la plante se propage à travers le monde grâce aux colons hollandais qui la cultivent sur le continent africain et l‟exportent. Du fait de la réputation ancienne de la plante, les scientifiques commencent à s‟intéresser à la composition chimique de l‟Aloe vera et ses propriétés thérapeutiques.. Il aura fallut attendre jusqu’en 1851, pour que Smith et Stenhouse identifient un des principes actifs de l’Aloe vera qu’ils appellent aloïne. Les extraits d‟aloïne et d‟aloe-émodine sont cités pour une des premières fois dans le Codex britannique de 1907.

En 1912, Johnston découvre l’effet de la pulpe sur les brûlures, et il faudra attendre les années 30 pour que la plante se voit attribuée une autre indication thérapeutique : le traitement des radiodermites. En effet, à cette période, Collins publie les premiers travaux scientifiques sur la plante et démontre ainsi l’effet curatif sur les brûlures dues aux rayons X. Cela va être confirmé des années plus tard par l’utilisation qu’en ont fait les Japonais après les attaques nucléaires de Nagasaki et Hiroshima : la peau des victimes cicatrisait très rapidement et le nombre de cancers de la peau chez ces Japonais était inférieur au pronostic fait en cas d‟une attaque nucléaire d‟une telle envergure. L‟engouement de la communauté scientifique mais aussi industrielle commence alors réellement à ce moment !

En 1942, Rodney Stockton, ingénieur chimiste, s‟enduit de pulpe gélatineuse d‟Aloe vera après un coup de soleil et guérit rapidement. Il se met donc à s‟intéresser à la plante, travaille sur la stabilisation du gel et met au point un onguent qui soulage les brûlures. Ce n’est qu’a la fin des années 50 que Bill Coats, pharmacien texan, réussit réellement, après des années de recherche, à stabiliser la pulpe fraiche par un procédé naturel. Commence alors la commercialisation de l‟Aloe vera à échelle internationale, et les nombreux travaux cliniques et analytiques. De nombreuses autres propriétés sont ainsi confirmées et la composition chimique de la plante est peu à peu élaborée …

L’aloe Vera ou plutôt l’Aloe Barbadensis Miller est une plante vivace aux feuilles charnues présentes dans des zones du monde aux climats chauds et secs. Elle est dotée de capacités de survie exceptionnelles. Pour pouvoir pousser et se développer dans des environnements hostiles, la plante à la capacité de réguler son propre bilan hydrique été donc d’emmagasiner de l’eau, s’assurant ainsi une hydratation continue. Elle agit comme un ” laboratoire chimique naturel ” capable de réaliser sa propre synthèse d’une quantité infinie de principes actifs parfaitement équilibrés, notamment des minéraux, vitamines, protéines végétales, acides aminés essentiels, acides organiques, enzymes, polysaccharides… Plus de 80 nutriments actifs agissant en synergie !

L’Aloe Vera se consomme et s’applique sur la peau, il faut cependant savoir que seule la pulpe ( gel de la plante et non la peau ) est intéressante, le gel seul comporte 99,5 % d‟eau. La différence, soit 0,5-1%, représente la matière solide. Il s‟agit d‟un ensemble de composés qui sont des vitamines, minéraux, enzymes, polysaccharides, composés phénoliques et acides organiques, dans plusieurs proportions variables.

Le gel source contient de nombreux polysaccharides, dont la plus forte concentration se trouve juste sous la surface de la feuille d‟Aloe vera.

De nombreux scientifiques stipule que les polysaccharides servent de mécanisme protecteur à la plante, c‟est-à-dire que dès qu‟elle est traumatisée (par exemple quand on coupe une feuille) elle émet directement une substance, sous forme de couche gélatineuse épaisse. Cet exsudat va arrêter le flux de gel de la feuille mais aussi la cicatriser et la protéger d‟une exposition à l‟air, pour former une barrière protectrice.

Les polysaccharides, qui confèrent au gel de nombreuses propriétés tels qu‟un effet cicatrisant, hypoglycémiant, immunomodulateur, antifongique et anti-inflammatoire.

Les acides aminés sont nécessaires à la synthèse des protéines, ont un rôle métabolique et peuvent jouer le rôle de neuromédiateurs. Le gel en contient 18. Les acides aminés essentiels ne peuvent pas être synthétisés par l‟organisme et doivent donc être impérativement apportés par l‟alimentation. Le gel d‟Aloe vera contient 7 des 8 acides aminés dits essentiels.

Les acides aminés secondaires ou non essentiels sont retrouvés au nombre de 11 (sur les 14 existants). Ils peuvent être synthétisés dans l‟organisme à partir des lipides ou glucides.

Cette richesse en acides aminés confère à l’Aloé vera un excellent intérêt diététique et anti-âge
Selon les études, les proportions des minéraux et oligo-éléments différent selon l’âge et la partie de la feuille utilisée. On notera seulement que le gel d‟Aloe vera contient du calcium, du chlore, du cuivre, du chrome, du fer, du lithium, du magnésium, du manganèse, du phosphore, du potassium, du sodium, et du zinc ; les plus abondants étant le calcium, le potassium, le magnésium et le sodium.

La présence de calcium présente un intérêt puisqu’il joue un rôle dans la fermeté des tissus
On trouve de nombreuses vitamines dont :

La vitamine A ou rétinol : essentielle pour la vision, la multiplication cellulaire et les trophicités épithéliale et tissulaire.

La vitamine B1 ou thiamine : elle joue un rôle métabolique essentiel, nécessaire au fonctionnement cellulaire et à la transmission de l‟influx nerveux.

La vitamine B2 ou riboflavine : importante pour la santé de la peau et des tissus.

La vitamine B3 ou vitamine PP ou nicotamide : aide à réguler le métabolisme

La vitamine B6 ou pyridoxine : intervient comme coenzyme dans de nombreuses réactions, notamment celles qui impliquent les acides aminés

La vitamine B9 ou acide folique : indispensable à la maturation des érythrocytes.

La vitamine B12 : essentielle pour le maintien de l‟intégrité du système nerveux et pour l‟hématopoïèse. Rappelons que la vitamine B12 existe rarement dans les plantes. Il semblerait que l‟Aloe vera n‟en contienne que des traces infimes et cela même reste controversé.

La vitamine C ou acide ascorbique : stimule le système immunitaire et possède des propriétés anti-oxydantes

La vitamine E ou tocophérol : agit comme agent antioxydant et au niveau de la synthèse de l‟hème.

Le gel contient certaines enzymes, qui contribues à réduire l’inflammation excessive lorsqu’elle est appliquée sur la peau par voie topique, tandis que certaines enzymes aident à la dégradation des sucres et des graisses.

D’autres constituants comme les glycoprotéines aux propriétés immunostimulantes, L’Acide malique, l’Acide salicylique : composant ayant des propriétés antalgiques, antipyrétiques, et anti- inflammatoires par voie interne mais qui a aussi un pouvoir kératolytique et comédolytique en application cutanée..

L’activité anti-inflammatoire du gel d’Aloe vera a été révélée par un certain nombre d’études in vitro et in vivo. Le gel semble exercer son activité anti-inflammatoire par une activité enzymatique qui inhibe certains médiateurs de l‟inflammation.

Le gel d’aloé vera agit sur l’érythème fessier, l’herpès génital, la dermite seborrheique,

( DERMITE SEBORRHEIQUE : La dermite séborrhéique est une dermatose fréquente, se caractérisant par des rougeurs cutanées et des squames plus ou moins prurigineux. L’Aloe vera sous forme d’extrait aurait un intérêt dans le traitement de cette affection en diminuant les rougeurs et le prurit selon une étude menée en 1999 )

Le gel d’Aloe vera est composé à 98,5% d’eau, ce qui lui confère ses propriétés hydratantes. Mais ces dernières ne sont pas seulement dues à l’eau contenue dans le gel mais aussi à certains composants qui participent à l’hydratation cutanée.

Dans une étude réalisée chez 30 femmes âgées de plus de 45 ans, l’application de gel pendant 90 jours a considérablement amélioré l‟aspect des rides et l‟élasticité de la peau en augmentant la production de collagène et diminuant la dégradation de celui ci.

In vitro, la capacité cicatrisante de la plante s’explique par le fait que certains de ses composants augmentent la réticulation des tissus et la synthèse de collagène par les composants contenus dans le gel. Ils seraient bénéfiques pour la protection des cellules en favorisant la prolifération cellulaires…. Ils favoriseraient également la prolifération des fibroblastes et la production d‟acide hyaluronique Ils joueraient donc un rôle important dans le remodelage de la matrice extracellulaire au cours de la cicatrisation des plaies. La vitamine C présente dans l’Aloe vera améliore la synthèse du collagène et contrebalance sa dégradation. Comme le gel est composé essentiellement d‟eau, il empêche le dessèchement de la plaie et augmente la migration des cellules.

Pour démontrer les effets cicatrisants de l’Aloe vera sur des brûlures au second degré in vivo, une étude sur un total de 48 rats a été réalisée. Ces derniers ont été divisés en 4 groupes : rats témoins, rats brûlés non traités, rats traités avec du sérum physiologique et rats traités avec de la poudre (gel d‟Aloe vera lyophilisé). Chaque groupe a été divisé en 2 sous-groupes afin d‟étudier la microcirculation cutanée et la cicatrisation à J+7 et J+14.

La microcirculation a été significativement améliorée pour les plaies traitées avec l’Aloe vera par rapport au sérum physiologique. La guérison des brûlures a été plus nette chez les rats traités avec l‟Aloe vera par rapport aux autres groupes.

L’utilisation d‟un gant enduit de gel d‟Aloe vera 8 h / jour pendant 10 jours par 30 personnes travaillant dans une usine et présentant une dermatite de contact a permis une amélioration de l‟aspect de la peau des mains avec une diminution des ridules, de la sécheresse et de l‟érythème.

Une étude expérimentale comparative a montré qu‟un pansement saturé en gel d‟Aloe vera appliqué sur une peau acnéique ayant subi une dermabrasion a réduit considérablement le temps de cicatrisation de celle-ci par rapport à un pansement standard. Cependant, le mécanisme exact de cette accélération n‟est pas identifié.

L’Aloe vera serait efficace pour accélérer la cicatrisation des plaies chirurgicales. Notamment celles postopératoires en chirurgie parodontale…

Par voie oral – 
L’aloès Vera doit être pur, sans additifs , sans pasteurisation et conservé au frais.

En topique –
Pour profiter de l’entière bio-disponibilité de l’aloès Vera il doit être présent sous forme de gel pur, se rapprochant des 100%. Peu d’ingrédients adjacents, sans eau rajoutée, respecter une charte stricte de cueille, traitement, mise en conditionnement…

Le premier gel issu d’une double concentration en aloe vera. La gamme est composée de produits formulés à base d’un double concentré de jus et de chair d’aloe Vera purs et non pasteurisés, extraits à l’aide d’un procédé jusqu’alors jamais utilisé pour l’extraction de l’aloè Vera. Ce procédé donne à l’aloè Vera deux fois plus de puissance en éliminant une partie de l’eau initialement présenté, sans compromettre la bio activité dans son ensemble.

D’abord, c’est quoi une onde de choc ?
Il s’agit d’ondes acoustiques avec un sommet d’énergie très haut, comme celles qui se produisent dans l’atmosphère suite à un phénomène d’explosion.
Dans le corps, nous pouvons faire référence aux impulsions mécaniques de pression, qui s’entendent comme une vague au travers du corps humain.

Une différence avec les ultrasons ?
Oui, car l’onde de choc se différencie par son amplitude de pression extrêmement large. De plus, l’ultrason consiste en une oscillation périodique tandis qu’une onde de choc est une simple impulsion.

Quels sont les effets thérapeutiques ?
Elle n’est pas utilisée pour désintégrer les tissus, mais pour provoquer des effets biologiques extracellulaires, ce qui inclut une régénération du tissu.

L’appareil –
Pour les besoins de la médecine esthétique, les ondes acoustiques ont été modifiées afin d’agir sur la cellulite et d’autres pathologies esthétiques. Les ondes ont été associées avec de la basse énergie, pour éviter d’endommager les tissus.
L’énergie créée par l’air comprimé, est transférée à l’émetteur à la fin de l’application. La technique est sûre.

La séance –
Le praticien dispose de différents programmes de traitements afin d’agir sur une large palette de pathologie. Afin d’obtenir un résultat significatif il faudra compter en 4 et 6 séances. 

Le résultat –
La stimulation électrique émise par la pièce à main permettra de raffermir la peau, les impulsions acoustiques stimulent les cellules musculaires pour une meilleure élasticité.
Le traitement permettra d’augmenter le métabolisme, donc de perdre du poids, car l’énergie stockée dans votre corps doit être utilisée au maximum.
Pour faire simple, le corps utilise la nourriture en tant que carburant, et la convertit en énergie produite par le métabolisme. Nous avons tous un métabolisme de base, il s’agit de la quantité d’énergie dont l’organisme a besoin au repos, le but est de l’augmenter.
La circulation sanguine est relancée par la création de nouveaux capillaires sanguins, et la production de collagène est améliorée par la prolifération des fibroblastes.
La circulation lymphatique est stimulée, cela permet d’éliminer les toxines et les lipides par les cellules adipeuses.
La cellulite sera homogénéisée.

Pré-Post intervention –
La séance ne nécessite pas d’éviction sociale, elle est parfaitement combinable avec d’autres traitements.

EN RÉSUMÉ  

Le X-Wave Expert combine l’onde acoustique et la stimulation électrique en un seul traitement, cela est prouvé scientifiquement, sans effets secondaires et sans risque. Une technique parfaitement combinable, avec par exemple, une séance de cryothérapie qui ne nécessite pas de régime particulier.
Évidement les résultats seront maximisés si le patient adopte une bonne hygiène de vie, et un régime alimentaire sain.

Point de vue de Dominique Denjean, dermatologue esthétique, Paris 2ème

LES ONDES DE CHOC OFFRENT-ELLES UNE RÉELLE COMPLÉMENTARITÉ A LA CRYOTHERAPIE ? 

la réponse est oui les ondes de chocs apportent un complément à la cryolipolyse et ce pour plusieurs raisons:Elles permettent de diminuer la fibrose associée et améliorer le tissu conjonctif pathologique dans la cellulite souvent associée.

Elles activent la microcirculation et favorisent la production d’ un nouveau collagène.
Toutes ces actions permettent une amélioration de la qualité de la peau grâce à un raffermissement et donc un meilleur aspect de la peau.
De plus les ondes de choc atténuent les vergetures souvent associées à ces modifications de volume.

Contact communication : aesthetics75@gmail.com

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Thomas Josse