Catégories
Agence Thomas Josse

Bonjour le monde médical!

Bienvenue sur WordPress. Ceci est votre premier article. Modifiez-le ou supprimez-le, puis lancez-vous !

Catégories
Agence Thomas Josse

PLONGEONS DANS LE 16 ÈME CONGRÈS AMWC2018 AU LARGE DE LA CÔTE D’AZUR ; MONACO !


Nous y revoilà, un an après la dernière édition me voilà à l’aéroport attendant le Paris-Nice, 1h de vol pour atteindre enfin la formule de l’éternelle jeunesse ? J’ai envie d’y croire même si au fond de moi je sais que ça ne sera que partie remise.

Je pense déjà aux milliers de mots échangés sur les chemins de commerciaux passionnés ou vendeurs de poudres d’étoiles, de scientifiques avertis ou du dimanche, de médecins promettant un rajeunissement ultime à des patients cherchant indéfiniment à vaincre cette horloge du temps.

Ce rassemblement est certainement l’un des plus attendus de l’année, la raison est simple; l’horizon, la mer, le soleil, les retrouvailles autour de soirées monégasques et puis évidement le programme scientifique toujours aussi complet.

Certains vont penser que ce rassemblement est une récréation, d’autre le « clac » de lancement de la belle saison tandis que les plus assidus attendent ce rassemblement pour écouter les 57 sessions scientifiques, soit + de 350 communications réparties sur 3 jours dans 7 salles de conférence en parallèle avec la participation de plus de 350 orateurs internationaux.

Il en fallait du souffle pour arpenter plus de 300 entreprises exposants sur + de 14 000m2…

Les mauvaises langues vont dire que je détaille la plaquette de présentation, mais pour moi je place le contexte. Qui des le départ nous fait prendre conscience que nous ne sommes pas dans un congrès de province mais bien dans la Mecque de l’esthétique médicale et chirurgicale. 



On ne fait jamais le même voyage dans ce congrès. Riche, complexe, énigmatique, intense, ce lieu d’exposition sans plan très clair offre mille possibilités de se perdre et de se retrouver. La délicatesse cohabite avec l’effervescence : la profondeur avec la superficialité.

Ce cadre mouvant tellement inspirant pour ces professionnels de l’esthétique médicale et chirurgicale était donc le décor rêvé pour des rencontres passionnantes autour de techniques presque futuristes.

Et-ce que le seul pouvoir inaccessible à la fortune qui est la beauté était la seule préoccupation de l’ensemble des participations ? Et si non qu’elle pourrait être la motivation de ces milliers de visiteurs venus des 4 coins du monde ?

Le patient ?! Une chose est sûre il était le centre des préoccupations en cette 16 ème édition du congrès Mondial de Médecine Esthétique & Anti-Aging «AMWC » qui s’est tenu du 4 au 7 avril 2018 à Monte-Carlo.

Puisque « la sécurité des patients » était le thème principal de cette édition 2018. Les normes CE médical, l’agrément FDA, les études cliniques, le recul nécessaire…sont autant de thèmes entendus dans la bouche des médecins que des commerciaux. 

Le patient doit-il se rassurer à l’heure du Made in China, et de la montée de l’exercice illégale de la médecine esthétique par des esthéticiennes ? La réponse se veut rassurante ! 



Nous avons pu constater que parmi les évolutions les plus remarquables, la fiabilité des produits injectables, aujourd’hui soumis à des conditions de mise sur le marché plus strictes, sous l’impulsion des Pouvoirs Publics européens, américains et asiatiques. 

Le développement d’une approche globale et donc de nouvelles techniques d’injection ont également amélioré la sécurité des traitements. En engageant les praticiens à approfondir leurs connaissances en anatomie, ces évolutions ont contribué à réduire de façon significative les risques d’incidents opérateurs dépendants tout en offrant de bien meilleurs résultats. 


Les 2 grandes nouveautés prédominantes ? 



La gynécologie évolue depuis quelques années vers le traitement des problèmes fonctionnels (dyspareunie, anorgasmie, etc.) et esthétiques (labiaplastie, etc.). Cette spécialité en plein essor marque sans doute la fin d’un tabou.

La médecine préventive et anti-âge évolue elle aussi chaque jour grâce aux avancées des connaissances en matière de vieillissement pour une longévité en bonne santé. On estime que dans les pays développés, l’espérance de vie pourrait atteindre 120 ans en 2050 ! Mais à l’heure où l’espérance de vie en bonne santé tend à baisser après 60 ans, il va falloir non seulement redresser la courbe, mais l’amener à des sommets jamais atteints.

Quel intérêt de vivre plus vieux si on est fortement diminué ? Des centenaires alertés et préoccupés par leur image ? Le challenge est de taille ! 

La prévention active des maladies est certainement une des préoccupations majeures de nos contemporains qui y songent maintenant de plus en plus tôt, évitant de subir la dégradation de nos différents systèmes physiologiques menant à la maladie. 

La logique n’étant plus juste de dépister une maladie à travers un simple bilan ou Check-Up, mais faire une vraie médecine de prévention active grâce aux technologies issues de la physiologie.

S’il y a bien un moment où la prévention anti-âge n’est pas de mise, c’est lors des nombreuses soirées où le carton d’invitation est devenu convoitise. J’ai pu participer à celle organisée au palace l’Hermitage par un laboratoire Suisse.



Les convives étaient à leurs places sous ces lustres d’or et cette musique éléctro. 

Je me suis posé à côté de deux femmes. Assises face à son double. Elles sont là, face à face dans une conversation étrange, étonnante, émouvante portant sur le transhumanisme. 
C’est la rencontre, le moment de la rencontre. Une certaine fascination émane de la réplique robotique quasi parfaite de l’une des femmes. Entre magie et réalité, l’illusion parfaite d’un milieu peuplé d’êtres « cybernétiques » et humains me parcours l’esprit, cette rencontre constitue-t-elle un prélude à la société à venir ?

Et si ces femmes étaient des cyborgs ? Il est vrai que les lèvres n’étaient pas « réelles » mais peut-on se fier à ce détail ? Et au final, de quoi est constitué un robot ? d’une peau en silicone enveloppant un squelette métallique, des câblages et des capteurs. Le cerveau est quant à lui, une base de données remplie d’informations numérisées et enregistrées. En mémoire des informations numérisées et enregistrées.

Le robot garde en mémoire tous les souvenirs, attitudes, croyances d’un réel humain, d’une vraie femme, et, grâce à un système informatique complexe configuré d’une intelligence artificielle, elle « pense », simule son existence, croit « être ».

Alors qui me dit que cette discussion était « humaine » ? 

 La complexité de cette question balbutie encore dans ma tête d’humain, avec comme sentiment que cette fascination pour la machine va nous conduire vers les chimères de l’immortalité. Quoi qu’il arrive, cette avancée nous laisse entrevoir le cadre d’une vie que nous dessinons aujourd’hui pour nos descendants.

Le mot qui résume cette édition ? « continuité », pour la profession, la continuité c’est l’évolution, pas la révolution, et c’est tant mieux pour les patients !

Thomas Josse 

Contact communication : agencethomasjosse@gmail.com

Poursuivre l’aventure : https://www.euromedicom.com/en/home.html 


Bravo à l’agence Nat’Communication pour le professionnalisme de l’organisation du support “presse-médias” 
L’AMWC 2018 accorde une reconnaissance spéciale à Taiwan pour sa contribution à l’avancement de la médecine anti-âge mondiale. Taiwan est l’un des pays les plus dynamiques du monde en médecine esthétique, stratégiquement situé entre l’Asie de l’Est et du Sud-Est. 
Catégories
Agence Thomas Josse

LA VITAMINE D, OUI MAIS QUAND ET COMMENT ?



Lors des beaux jours la vitamine D est toujours mise à l’honneur, mais saviez-vous qu’il est possible de s’en supplémenter sans pour autant s’exposer au soleil ?

Nous sommes conscients de l’insuffisance et de la carence en vitamine D dans toutes les populations : 50 à 80 % de la population serait déficitaire. Pour être encore plus précis l’insuffisance en vitamine D peut être définie par un taux dans le sérum sanguin inférieur ou égal à 30 ng/ml (50 nmol/l) et la carence par un taux inférieur ou égal à 10 ng/ml.

Les valeurs souhaitables en vitamine D se situent entre 60 et 80 ng/ml. Tous les experts internationaux s’accordent à dire que les supplémentations recommandées par les autorités de santé sont donc insuffisantes !

Nous sommes aussi conscients que cette même vitamine D, qui est en réalité une hormone, prévient certains cancers et améliore certaines fonctions de l’organisme.
Comme en démontre son importance dans le métabolisme osseux dont nous le savions depuis longtemps mais des publications récentes ont rapporté de nombreux effets extra-osseux potentiels de la vitamine D.

L’administration de vitamine D permet de réduire le risque de fractures non vertébrales, d’améliorer la fonction musculaire et de réduire le risque de chutes pour un taux dans le sérum sanguin de 25OHD de l’ordre de 30 ng/mL (soit 75nmol/L).

On a mis en évidence des associations entre l’apport de vitamine D et la réduction de la mortalité, de certains cancers, des infections, des maladies inflammatoires (diabète, sclérose en plaques), des maladies cardiovasculaires, des maladies neuro-dégénératives et peut-être de l’arthrose. Mais il n’existe pas d’essais randomisés actuellement publiés permettant de prouver qu’il existe des liens de causalité.

En outre, les taux dans le sérum sanguin nécessaires pour obtenir de tels effets ne font pas consensus, car étant variables d’une personne à l’autre. Il est cependant nécessaire d’assurer un taux optimal de 25-(OH)-D chez tous les sujets, dans un esprit de prévention générale.




Pour rappel, plus de 200 gènes sont sous contrôle directe ou indirecte de la vitamine D. Presque toutes les cellules expriment le récepteur pour la vitamine D.

Ainsi, de nombreuses cellules du cerveau, de la prostate, du sein, du côlon et du muscle ainsi que les cellules de l’immunité possèdent des récepteurs. Ceci indique que le système vitaminique D a des actions beaucoup plus généralisées qu’un simple régulateur du transport de calcium impliqué dans l’ostéoporose ou le rachitisme.

Il est important de retenir que la vitamine D régule la prolifération des cellules saines et cancéreuses, leur différenciation, leur apoptose (suicide cellulaire) et leur angiogenèse. Elle participe, par exemple, à la régulation des gènes permettant de synthétiser des protéines nécessaires à la matrice cellulaire et à la jonction entre les cellules, mais également à la régulation des gènes intervenant dans la réparation de l’ADN et activant des systèmes anti-oxydants, ou encore, à la régulation de gènes intervenant dans la régulation de l’immunité.

Vous savez très certainement que la vitamine D est synthétisée naturellement par la peau, plus précisément dans les couches profondes de l’épiderme sous l’effet des rayons UVB. 

Mais attention, la synthèse cutanée de vitamine D3 est diminuée par l’âge et par certaines conditions d’exposition cutanée (durée d’exposition solaire, tranche horaire, saison, latitude, habillement, pigmentation de la peau, utilisation d’écrans solaires, pollution de l’air, poids et âge). La prévalence de l’insuffisance en vitamine D est paradoxalement élevée dans les pays où l’ensoleillement peut être important, du fait d’un excès de protection, d’origine culturelle ou non.
Il faut aussi savoir que la concentration de vitamine D dans les couches profondes de l’épiderme diminue avec l’âge.

Le problème qui vient immédiatement à l’esprit est que le soleil a également des effets délétères régulièrement dénoncés et cela nous amène à réfléchir s’il n’y a pas d’autres sources possibles de vitamine D ? N’y aurait-t-il pas d’autres moyens pour en bénéficier ?

Les aliments contenant de la vitamine D sont peu nombreux et l’effet des apports alimentaires ou médicamenteux sur la concentration de la vitamine varie avec le poids et surtout la masse grasse.

De nombreux experts pensent que les valeurs de référence actuellement admisses sont trop basses et que les supplémentations recommandées sont insuffisantes, ce qui a amené une nouvelle approche pour l’établissement de ces valeurs de référence.

Les deux conséquences principales de cette nouvelle définition du seuil d’insuffisance en vitamine D sont :


L’insuffisance en vitamine D est très fréquente et en particulier en Europe. Suivant les populations testées et la période de l’année, près de 100 % des individus ne recevant pas de supplémentation, ont une concentration dans le plasma sanguin de vitamine D inférieure à 30 ng/mL. Tout le monde ou presque est naturellement carencé en vitamine D.

Les apports nutritionnels conseillés (ANC) pour la vitamine D (400 U/j pour les sujets de moins de 65 ans et 600 U/j pour ceux de plus de 65 ans) sont insuffisants pour atteindre cette cible minimale de 30 ng/mL et il faut donc envisager des doses plus importantes.

Il est légitime alors de se poser la question d’un éventuel surdosage. La vitamine D est en effet potentiellement toxique. Un excès de vitamine D favorise l’augmentation de l’absorption intestinale du calcium donc des risques d’hypercalcémie avec en particulier des risques rénaux potentiels.

Plusieurs études ont par ailleurs démontré que des doses journalières de vitamine D largement supérieures aux ANC (plus de 4 000 UI/J) sont sans conséquence sur le risque rénaux.

Ainsi certains auteurs parlent de valeurs « souhaitables ». Elles sont de 30 à 60 (voire 80) ng/mL (soit 75 à 200 nmol/L). La limite supérieure a été choisie arbitrairement pour être suffisamment éloignée de la zone de toxicité potentielle.

EN CONCLUSION, QUEL DOSAGE FAUT-IL POUR MONTER LA CONCENTRATION CHEZ PLUS DE 95% DE LA POPULATION SANS RISQUE ?

On pourrait faire une recommandation théorique et disant que pour obtenir une concentration entre 75 et 220 nmol/L, il faut donner 3 800 UI de vitamine D3 par jour si la concentration de base est > 55 nmol/L (22 ng/mL) et 5 000 UI par jour si la concentration de base est < 55 nmol/L.
Mais une telle recommandation ne tient pas compte des particularité de chaque personne…

Enfin, pour les adeptes du soleil, sachez qu’une exposition modérée des bras et des jambes au soleil, 5 à 10 minutes tous les jours, conduisant à un érythème chez les personnes qui portent uniquement un maillot de bain, est équivalente à l’injection approximative de 20 000 unités de vitamine D ! 


Thomas Josse

Contact communication ; agencethomasjosse@gmail.com
Catégories
Agence Thomas Josse

20 ANS DE CÉLÉBRATION DE LA BEAUTÉ MÉDICO-CHIRURGICO ESTHÉTIQUE !

Début février, l’IMCAS a réuni les plus grands experts internationaux afin d’échanger sur leur vision globale et d’analyser les avancées majeures de ces deux dernières décennies.

En 20 ans, les normes de la société ont changé. Paraître rime avec bien-être et la prévention du vieillissement est le nouvel impératif.

La tendance n’est plus tant de rajeunir que d’être en harmonie avec soi. Retrouver un visage tonique, paraître énergique et conserver son pouvoir de séduction, avec des méthodes combinées minimales invasives (fils tenseurs, injectables, peelings, radiofréquence, LEDs, Photothérapie dynamique, produits de comblement…).

La patiente veut donc des traits reposés mais pas tirés, une peau de jeune fille mais sans l’acné juvénile, une poitrine avantageuse mais sans les compliments ( loi anti harcèlement ), un nez passant inaperçu et sans l’aspect « trompette » si tendance aux US.

En 20 ans la demande a évolué, nous sommes passés des absurdités du Too Much (bouches de mérous, pommettes XXL, front trop lisse, poitrines trop gonflées dont la non authenticité est reconnaissable par tous), à la folie de l’hydratation, en passant par le coup d’éclat façon retour de week-end pour voir apparaitre aujourd’hui dans toutes les bouches, un aspect défatigué !

Ces patientes savent-elles que la fatigue peut les atteindre sous de multiples formes : durant la journée, pendant un mois, sur une saison ou encore à l’année. Nous devrions donc identifier les états de fatigues pour s’appuyer sur des traitements efficaces.

Cette célébration de 20 années a permis de suivre et d’anticiper l’évolution du marché et de comprendre l’’importance, de tous temps, de la demande de beauté et de jeunesse des patients.

La seule différence est la diversité des solutions aujourd’hui qui suivent les grandes tendances, et la révolution des injectables, qui par un acte simple et ambulatoire, permet de satisfaire une demande de rajeunissement sans passer par la case bistouri.

Cette innovation a certainement modifié l’approche du chirurgien esthétique, répondant alors à une demande de patients ne voulant plus de longues évictions sociales ni d’actes lourds.

Illusion d’optique ? Nous ne pouvons plus prétendre que l’injection de produit de comblement serait la seule et unique réponse à toute les indications cela serait réducteur et nous conduirait face à une orde de visages lunes !

Les injections de produit de comblement jouent un rôle essentiel dans le rajeunissement du visage, mais également dans la prévention du vieillissement. En effet, injecter plus précocement, évite, ou au moins retarde l’apparition des rides et des pertes de volume.

La chirurgie reste une valeur sûre et incontournable. Elle a intégré les technique de médecine esthétique, qu’elle utilise pour affiner et embellir son résultat.

Si la Lipoaspiration est toujours la 1ère intervention en chirurgie plastique dans le monde, le lifting est encore aujourd’hui irremplaçable pour redessiner l’ovale ou retendre le cou. Le geste se fait plus doux, s’associe à d’autres techniques et les suites sont plus courtes. En 2018, une chirurgie est réussie, quand le résultat est naturel avec une apparence en forme et rafraichie.

Le culte du corps est le nouvel eldorado. La recherche d’un corps parfait, une peau raffermie sans vergetures, ni capitons, grâce aux progrès vertigineux des nouvelles technologies, cryolipolyse, en tête, ultrasons, radiofréquences, lasers, surtout ceux qui ont un effet direct au plus près du derme. Dernière tendance, une demande en forte augmentation, la chirurgie de l’intime.

En 2018, c’est le boum de l’augmentation des fesses et de celle plus légère des seins chez les femmes ; chez les hommes on redessine les pectoraux.

Au-delà des tendances, cette 20 ème édition de l’IMCAS est un repère apprécié par l’ensemble des professionnels recherchant des réponses à des questions alliant « les fils tenseurs sont-ils efficaces ? » « la cryolipolyse est-ce rentable ? », « l’inducteur tissulaire, l’inducteur collagénique quelle différence ? », « la rhinoplastie ultrasonique c’est quoi ? » jusqu’aux échanges entre experts du monde entier ayant l’envie de se perfectionner.

Autant de questions que d’occasions de se rencontrer entre 8000 participants, et 700 speakers experts de 85 pays, contribuant au rayonnement international de ce congrès d’enseignement organisé ces dernières années en Chine, en Corée, à Taiwan, en Indonésie, en Inde, ainsi qu’en Colombie et au Mexique. Cette année 2018 : L’IMCAS s’exporte à l’international avec l’IMCAS America (Cartagena) et IMCAS Asia (Seoul).

L’IMCAS 2018 c’était aussi l’occasion de découvrir des innovations technologiques comme l’imagerie médicale, la 3D, la réalité augmentée, la e-santé qui deviennent incontournables pour expliquer les techniques et évaluer les résultats. Quant à la Robotique, elle apporte une précision du geste inégalée à commencer par la chirurgie du sein.

L’espérance de vie en bonne santé a augmenté, passant de 47 ans en 1950 à 85 ans. Elle nous laisse le temps de profiter de ces merveilleuses avancées et traitements disponibles chez son praticien.

Saviez-vous qu’hormis l’allongement de l’espérance de vie, la jeunesse s’est considérablement élargie : l’âge d’accès à l’âge adulte est devenu beaucoup plus long. La vieillesse mais aussi les phases de transition se sont elles aussi allongées.

Pour certains, la vieillesse est une maladie. Alors comment bien vieillir ? Le praticien esthétique devra-t-il rapidement ajouter une corde à son arc et ne plus traiter uniquement l’apparence du patient ?

Pourrons- nous rajeunir et se soigner avec nos propres cellules ? Certainement ! La France est à l’avant-garde de la recherche en médecine régénérative qui devient de plus en plus efficace et pas seulement en esthétique !

Pour ma part, je préfère croire que le vieillissement n’est pas une fatalité. Puisque de nombreuses personnes voient dans le futur l’arrivée de l’immortalité, la vraie, celle qui fait que non seulement on ne vieillit pas mais on ne meurt plus jamais: est-ce une utopie ? La mienne à coup sûr !

Rendez-vous pour la prochaine édition 2019, parlerons-nous toujours de beauté, de prévention ou même d’immortalité ?



L’IMCAS c’est quoi ?

A PROPOS DE L’IMCAS


L’IMCAS Paris est l’un des plus importants congrès mondiaux dédiés à l’interface entre la chirurgie et la dermatologie esthétique. Depuis 20 ans, l’IMCAS s’efforce de promouvoir un enseignement de qualité accueillant plus de 8000 participants, les leaders d’opinion les plus influents, et 700 speakers experts. Les participants de l’IMCAS Paris, traduit en Anglais, Russe et Chinois, viennent de plus de 85 pays, contribuant au rayonnement international de ce congrès d’enseignement organisé ces dernières années en Chine, en Corée, à Taiwan, en Indonésie, en Inde, ainsi qu’en Colombie et au Mexique.

A l’occasion de ses 20 ans, l’IMCAS lance le 1er Forum de l’Innovation Esthétique Médicale, pour la première fois en dehors des USA, en partenariat avec le « Dermatologic Summit » et le « Masters of Aesthetics ».

Au cours de la session « Shark Tank » Vendredi 2 février de 14h20 à 16h00, un best of des Start-Ups les plus prometteuses présenteront leurs projets dans les domaines de la recherche esthétique, dermatologie et chirurgie esthétique. Les IMCAS Innovations Awards seront décernés aux projets les plus innovants.

L’IMCAS s’exporte depuis 8 ans, à l’international avec plusieurs autres congrès par an : IMCAS India (Goa), IMCAS Asia (Seoul & Bali alternativement), IMCAS China (Shanghai) IMCAS Americas (Cancun & Cartagena).

L’IMCAS est aussi leader dans l’enseignement digital à travers IMCAS ACADEMY, avec plus de 2000 vidéos produites chaque année pour près de 12000 docteurs connectés.

Thomas Josse

Poursuivre l’aventure ; https://www.imcas.com/fr/academy/home

Contact communication : agencethomasjosse@gmail.com

Merci à l’agence de presse de l’IMCAS Patricia Benitah pour son implication et son écoute !