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UN AUTRE REGARD SUR LA LINGERIE POST-OPÉRATOIRE



La beauté étourdissante des corps ne serait rien sans la beauté du regard que nous portons sur la lingerie, cette première partition qui doit jouer la carte de la séduction en toute circonstance.

Librement inspirée par la lingerie que portaient les plus mythiques femmes de la planète, tout en rajeunissant les codes de la lingerie post-opératoire haute-gamme pour une collection se voulant ancrée dans son époque, à la fois élégante et sexy.

Voilà brièvement, une définition de l’univers d’Embody. Redonner gout à la vie des femmes suite à un cancer, une augmentation ou une réduction mammaire, un lifting mammaire, une abdominoplastie ou une lipoaspiration.

Pour cela il a fallu de l’innovation et de l’audace à cette maison, la même qu’il faut à chaque femme pour affronter les situations de la vie, et de faire qu’un avec sa peau, et par conséquent sa lingerie.

Ce projet est né d’une observation, celle que les femmes opérées, ne trouvaient pas une lingerie médicale confortable et élégante. Alors, il a fallu faire appel à l’imagination des chirurgiens plasticiens Français pour réfléchir et innover autour de grandes questions regroupant l’obligation d’une parfaite technicité, et surtout ne pas oublier le corps de la femme en lui rendant cette féminité…

Le plus compliqué me dit-on était d’attendre deux années de recherche et développement auprès de partenaires d’exception, avant de dévoiler sans compromis les modèles de fabrications Françaises qui allient la tradition des dentelles de calais, des broderies à la technologie d’aujourd’hui et demain comme des tissus multidimensionnels pour un parfait équilibre et uniformité sur la peau. Une élasticité pour une stabilité sans compression. Sans oublier l’extrème résistance des tissus et la protection contre les différentes longueurs d’ondes UV…

Cela représente qu’une partie du travail ….

Thomas Josse

Contact communication : aesthetics75@gmail.com

Continuer l’aventure sur Embody Paris : http://www.embody-paris.com/fr/?gclid=CjwKEAjwy6O7BRDzm-Tdub6ZiSASJADPNzYrd0Vw4Cjl9YdYgL_JxEJp_yjT0V9UDTAiwuRMC4b92RoCuj3w_wcB

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CONGRÈS “GROUPE LASER”, DE LA LUMIÈRE NAIT LA VIE, DU LASER NAIT LA LUMIÈRE…


Début juin s’est tenu autour du thème « peau, lumière et bien-être » le congrès « les journées parisiennes du laser » organisé par le Groupe Laser à l’hôtel Marriott. Avant de commencer je souhaite présenter « ce groupe » existant depuis plus de 20 ans et comptant aujourd’hui plus de 500 membres tous dermatologues laséristes.

Leur but est simple, informer, se questionner, débattre et surtout partager leurs points de vues autour des grands thèmes soit au travers de leur site web et son forum, soit par les congrès ouverts à tous les médecins.

Encore une occasion pour les dermatologues de se retrouver pour une édition autour du laser dans tous ses états ! 

J’ai même constaté que les lasers revenaient sur le devant de la scène avec une offre nettement moins invasive, au contraire ils nous révèlent des nouvelles perspectives de traitements venant au secours des décolletés souffrants de radiodermite chronique à la suite d’un traitement par radiothérapie.

Le laser vasculaire a refait parler de lui, pourquoi après 25 ans d’utilisation ? 


Car il a une grande affinité pour les vaisseaux situés sous la peau, permettant in fine de les coaguler voire de provoquer leur rupture de manière sélective, c’est-à-dire sans dommage collatéral pour les autres structures de la peau. Avec le temps, quelques améliorations ont été apportées aux modèles mais leur mode de fonctionnement intrinsèque n’a pas changé. Cependant, comme pour tous les traitements de référence, on ne mesure leur importance qu’à la lueur du chemin parcouru ; et surtout on découvre régulièrement de nouvelles maladies qu’ils peuvent traiter.

Des traitements peuvent être entrepris avec plus de résultats comme pour le mélasma ( anciennement appelé masque de grossesse ) qui grâce au Pr Passeron de Nice qui a récemment découvert l’intérêt d’un laser vasculaire, le laser à colorant pulsé dans le traitement. Les résultats publiés dans une grande revue américaine montrent ainsi qu’un traitement par laser vasculaire permet de prévenir les récidives de melasma y compris à long terme.

Le traitement du psoriasis qui est habituellement traité avec des crèmes, UV, immunosuppresseurs, biothérapie… Des traitements contraignants ou parfois non dénués d’effets secondaires importants. … Le Dr Mazer, directeur du CLIPP – Paris a réalisé plusieurs études avec suivi important montrant qu’il est possible de traiter certaines formes cliniques du psoriasis, dans certaines zones du corps, par laser à colorant pulsé.

Le traitement de nombreuses maladies rares cutanées pouvant bénéficier d’un traitement par laser vasculaire. Ce traitement ne permet pas de guérir la maladie mais peut en atténuer les stigmates présents sur la peau.

Sans oublier le traitement des verrues, des cicatrices et des vergetures et bien-sûr des vaisseaux eux-mêmes.

N’oublions pas le traitement des cancers cutanés grâce à ce même laser vasculaire.

Sujet encore tabou il y a quelques années, la possibilité de traiter certains cancers cutanés par laser a récemment été remise au goût du jour par de nouvelles publications, américaines cette fois-ci montrant de manière préliminaire tout le potentiel des lasers vasculaires, particulièrement à colorant pulsé et Nd :Yag. S’ils sont confirmés par des études de plus grande envergure, la prise en charge des patients pourrait s’en trouver révolutionnée : absence de cicatrice, caractère peu douloureux, traitement ultrarapide, possibilité de traiter le « champ de cancérisation » invisible à l’œil nu, possibilité d’éviter des séquelles mutilantes en périphérie des yeux, des oreilles, de la bouche et du nez…

Même si la canicule n’avait pas investi le hall d’exposition, nous ne risquions pas de transpirer avec la technologie Miradry qui détruit sans danger les glandes sudoripares situées sous les bras avec une énergie par micro-ondes. En une heure dites adieux définitivement aux auréoles disgracieuses !

Une chose est sûre, la lumière est passionnante, ce rapport à l’infini…. Comme si, le dermatologue par une baguette magique pouvait agir sur toutes les aspérités que notre peau peut subir, et que tous les moindres millimètres de peau pourraient être rajeunis…

Thomas Josse


Poursuivre l’aventure : http://www.groupelasersfd.com

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HPPI OU HYPERPIGMENTATION POST INFLAMMATOIRE

Les thérapies esthétiques sont basées sur le principe que les dommages ou le traumatisme offrent des résultats sur la surface de la peau dans le but d’une guérison ou d’une réponse réparatrice. En théorie, car dans la pratique, cela peut se traduire par une hyperpigmentation post inflammatoire ( HPPI ). 

Comprendre l’inflammation 


Le mot inflammation signifie « mise à feu ». L’inflammation est une partie de la réponse immunitaire du corps. Dans un premier temps, elle est bénéfique lorsque, par exemple, votre peau a subit les dommages causés par une blessure, un produit chimique, ou un acte de resurfacing. 

L’Inflammation commence le processus de réparation, et est donc essentielle à la survie de tous les tissus. Cependant, l’inflammation peut parfois causer une inflammation supplémentaire, pour devenir inflammation chronique et donc ouvrir la porte aux complications et être source de vieillissement.


Visuellement cela se caractérise par des dyschromies cutanés – anomalies de pigmentation de la peau, taches rouges ou foncées…  


Ne pas confondre avec mélasma ( masque de grossesse ) qui est juste une hyperpigmentation apparentée à l’hormone sexuelle touchant plus de femmes que d’hommes. 



Aujourd’hui, nous savons que l’hyperpigmentation post inflammatoire, est difficile à traiter et à prévenir. Même si des professionnels de la santé vous donnerons les bonnes solutions, n’oubliez jamais la protection solaire, elle est la meilleure arme contre les HPPI.

Comment se développe une HPPI ? 


Elle est une condition acquise dans laquelle le dépôt excessif de mélanine se produit sur le site de l’inflammation de la peau à la suite d’une « blessure ». 


Cela est dû à une surproduction de mélanine ou d’une dispersion irrégulière de pigment dans un schéma de répartition identique au processus inflammatoire initiale. L’activité des mélanocytes ( cellules créant la mélanine ) démontre que la stimulation des prostanoïdes, des cytokines, des chimiokines, et d’autres médiateurs de l’inflammation, ainsi que les espèces réactives de l’oxygène (ROS) sont libéré(e)s au cours du processus inflammatoire. 


L’emplacement de l’excès de pigment dans les couches de la peau détermine sa coloration. 

Lorsque les pigments sont confinés dans l’épiderme, la production et le transfert de la mélanine aux kératinocytes est augmentée. Par conséquent les taches brunes prendront des mois voir des années pour disparaitre sans traitement.

Lorsque les pigments sont confinés dans le derme cela résulte des dommages induits par l’inflammation aux kératinocytes basaux, qui libèrent de grandes quantités de mélanine. Le pigment libre est ensuite phagocyté par les macrophages, maintenant appelés mélanophages, dans le derme supérieur. Hyperpigmentation dans le derme a un aspect gris-bleu et peut être soit permanent ou régler sur une période de temps prolongée si non traitée. 

Attention – l’HPPI est aggravée avec les rayons ultraviolets (UV) au risque de devenir inflammation persistante.

Sur toutes les peaux ? 


Bien que l’hyperpigmentation post inflammatoire puisse être vu dans tous les types de peau, elle affecte plus fréquemment les types de peau plus foncée ( 4 / 5 / 6 ) dans le barème de Fitzpatrick. 
Les Afro-Américains, les Hispaniques / Latinos, les Asiatiques, les Amérindiens, les îles du Pacifique, et ceux d’origine du Moyen-Orient. 


Au sein de chaque groupe donné, l’incidence est plus élevée sur les peaux les plus sombres, que sur l’origine de l’individu. 
Cela suggère que le « degré de pigmentation » est plus important à prendre en compte que l’origine de l’individu dans la prévention au développement de l’HPPI.

De nombreux types de dermatoses inflammatoires ou des blessures cutanées peuvent provoquer des modifications dans la pigmentation. Certaines personnes montrent une propension à développer l’HPPI plutôt qu’une hypopigmentation ( zone plus claire ). 


Des exemples tels que la varicelle, la rougeole, les réactions allergiques aux piqûres d’insectes ou la dermatite de contact, le psoriasis. L’HPPI peut également résulter de réactions d’hypersensibilité aux médicaments, d’une blessure cutanée.

Comment se passe la gestion du problème ? 


La gestion de l’HPPI doit commencer par aborder l’état inflammatoire sous-jacente. Initier un traitement précoce pour l’HPPI peut aider à accélérer sa résolution et prévenir d’autres obscurcissement. 


Sans oublier l’élément clé de la solution ; la photoprotection. Elle fait partie intégrante du traitement et de la prévention de l’HPPI. 

L’utilisation quotidienne d’écran solaire minéral (SPF 50) et des mesures de protection solaire, comme les vêtements de protection, sont les piliers de la thérapie. 

Mis à part la photoprotection, il existe une variété d’actifs et de procédures qui peuvent en toute sécurité et efficacement traiter l’HPPI chez les patients à peau plus foncée. 

Les dépigmentants topiques, tels que l’hydroquinone, l’acide azélaïque, l’acide kojique, l’extrait de réglisse et les rétinoïdes peuvent être efficaces seules ou en combinaison avec d’autres agents et des procédures telles que l’exfoliation chimique et la thérapie par laser. 

Les agents topiques sont utiles dans le traitement, mais il est cependant important d’être conscient du potentiel irritant que le traitement lui-même peut causer.

LES ACTIFS 


L’hydroquinone (HQ), un composé phénolique qui reste la base du traitement de l’HPPI par de nombreux médecins. Les réactions sont souvent irritantes surtout avec une utilisation quotidienne et à long terme de 4% ou plus.


Fait intéressant, un petit nombre de patients exposés à des doses plus élevées d’hydroquinone peuvent même développer une autre forme d’hyperpigmentation difficile à traiter.

En 2006, la (FDA) a publié une déclaration suggérant que l’hydroquinone par voie orale peut être cancérogène. Cependant, il n’y a eu aucun rapport de cancers de la peau ou des tumeurs malignes associés à l’utilisation de HQ topique. À ce jour, une décision finale par la FDA est toujours en suspens.

Les rétinoïdes sont des analogues de la vitamine A, et sont efficaces seules ou en combinaison avec d’autres agents pour le traitement de l’HPPI chez les patients. Les rétinoïdes exercent des effets biologiques multiples qui se traduisent par l’éclaircissement de la peau, y compris la modulation de la prolifération cellulaire, la différenciation et la cohésion; l’induction de l’apoptose; et l’expression des propriétés anti-inflammatoires.

L’acide azélaïque est un acide naturel qui a été montré pour être efficace dans le traitement de l’HPPI. L’acide azélaïque a plusieurs mécanismes par lesquels il dépigmente la peau, y compris l’inhibition de la tyrosinase, ainsi qu’une propriété cytotoxiques sélectifs et des effets anti-prolifératifs vers les mélanocytes anormaux par l’inhibition de la synthèse d’ADN et des enzymes mitochondriales ( sources d’énergies de cellules ).

L’acide kojique a une capacité dépigmentante qui provient d’une puissante inhibition de la tyrosinase par chelation du cuivre au niveau du site actif de l’enzyme.

L’arbutine est extrait des feuilles séchées de l’arbuste busserole ou de poire, canneberge, ou de plantes de bleuet. 
Arbutine provoque une dépigmentation en inhibant l’activité de la tyrosinase, non seulement, mais également la maturation des mélanosomes. Bien que son efficacité est dose-dépendante, des concentrations plus élevées de l’arbutine peuvent conduire à une hyperpigmentation paradoxale. 

Niacinamide est le dérivé physiologiquement active de la vitamine B3 ou niacine. Des études montrent que la niacinamide diminue significativement le transfert des mélanosomes aux kératinocytes sans inhiber l’activité de la tyrosinase ou de la prolifération cellulaire, et le niacinamide peut également interférer avec la voie de signalisation cellulaire entre les kératinocytes et mélanocytes pour diminuer la mélanogénèse.

N-acétylglucosamine (NAG) est un sucre aminé qui est un précurseur de l’acide hyaluronique et l’on trouve partout dans la nature et dans les tissus humains. Sa capacité dépigmenter provient de l’inhibition de la tyrosinase glycosylation, une étape nécessaire dans la production de mélanine.

L’acide ascorbique ou vitamine C est un antioxydant d’origine naturelle obtenue à partir de certains fruits et légumes. Il provoque éclaircissement de la peau par interaction avec les ions de cuivre au niveau du site actif de la tyrosinase et en réduisant dopaquinone oxydé, d’un substrat dans la voie de synthèse de la mélanine. En plus d’éclaircir la peau, d’autres avantages comprennent non seulement des effets antioxydants mais certaines études montrent également des propriétés anti-inflammatoires et photoprotecteurs.

L’extrait de racine de réglisse est un ingrédient commun dans de nombreux cosméceutiques pour éclaircir la peau, et est également utilisé dans le traitement d’une grande variété de maladies, même en dehors du champ d’application de la dermatologie en raison de son anti-inflammatoire, antivirale, antimicrobienne, et les propriétés anticancéreuses. 

Certains des ingrédients actifs dans l’extrait de racine inhibe la tyrosinase et possède des effets anti-inflammatoires. Une autre forme « liquiritine », n’inhibe pas la tyrosinase, mais provoque une dépigmentation par la dispersion de la mélanine et le retrait.

LES ACTES 



Le peeling – 
Par exemple le peeling chimique est l’acte le plus courant, mais aussi comme source d’HPPI fréquente. Alors, pour les personnes à peau foncée, les peelings chimiques superficiels, pénètrent dans le derme papillaire et sont généralement bien tolérés avec de bons résultats cliniques sur l’hyperpigmentation.
Cependant, il faut prendre soin dans le choix et l’utilisation du peeling chimique pour éviter l’irritation, ce qui peut aggraver l’HPPI et entraîner d’autres complications, telles que les nouvelles zones de dépigmentation, la formation de chéloïdes et cicatrices hypertrophiques.

– L’acide glycolique, se trouve dans la canne à sucre, est un (AHA) qui induit l’épidermolyse, dispersant la couche basale de la mélanine, et augmente la synthèse de collagène dermique.

– L’acide salicylique, dérivé de l’écorce de saule, est un acide bêta-hydroxy qui induit une keratolyse en perturbant les liens lipidiques intercellulaires entre les cellules épithélioïdes.

Parmi les autres complications l’hypopigmentation, les cicatrices hypertrophiques et chéloïdes. Les patients doivent également être éduqués sur l’importance de la photoprotection pour prévenir ou éviter l’aggravation de l’HPPI après le peeling chimique.

Le laser et les thérapies basées sur la lumière – 
Bien que les agents topiques pour éclaircir la peau restent le traitement de choix pour les HPPI, les lasers et les sources de lumière peuvent être un complément efficace à la thérapie ou alternative pour les échecs thérapeutiques. 

En règle générale, l’énergie à partir d’ondes courtes est plus efficacement absorbée par la mélanine épidermique alors que des longueurs d’onde plus élevées pénètrent plus profondément avec une absorption plus sélective par des cibles dermiques qui les rend plus sûrs à utiliser pour les patients à peau foncée. 


Il y a eu des rapports de cas de la réussite du traitement de l’HPPI avec la thérapie photodynamique LED lumière bleue, grenat d’yttrium aluminium dopé au néodyme (Nd: YAG) et photothermolyse fractionnelle dans les types de peaux plus foncées. 

Thomas Josse

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DE LA TOXINE BOTULIQUE POUR DESSERRER LES DENTS ?


La nuit nous pouvons rêver, nous pouvons nous balader ( uniquement pour les somnambules ), nous pouvons ronfler et nous pouvons grincer des dents !

Le bruxisme, drôle de mot pour désigner le grincement des dents jusqu’à l’usure….

Le stress ( encore lui ) serait l’élément déclencheur de ce grincement intempestif des dents qui survient surtout la nuit.

Cela s’accompagne d’une contraction constante des muscles des mâchoires qui nous servent à la mastication. Cette manifestation peut même nous provoquer des douleurs dans les joues et la bouche, mais aussi des maux de têtes et des douleurs cervicales. Quant aux dégâts sur les dents, ils vont de l’usure de l’émail à la cassure, et même jusqu’au déchaussement dans certains cas.

LA RÉPONSE DE LA MÉDECINE ESTHÉTIQUE 

La médecine esthétique ne sert pas uniquement dans le traitement des rides, mais elle offre une solution rapide et efficace que votre médecin esthétique peut vous proposer.

L’intervention –

Les injections de toxine botulique se font directement dans les muscles masticateurs, au niveau de la bouche et de joues. En trois à quatre points d’injection le tour est joué. Une à deux injections par an suffisent.

L’injection bien maitrisée, on ne risque ni paralysie ni problème de mastication.

Il est intéressant de constater que nous n’avons pas besoin de recommencer tous les trois mois puisque ce blocage a une autre vertu : il induit une rééducation musculaire de la mâchoire. Au fil des semaines, sous l’action du produit, les muscles abandonnent leurs mauvais réflexes de contraction.

Le résultat –

Après une petite semaine, les grincements nocturnes, les douleurs ou les craquements de mâchoires sont stoppés net.

Autre effet bénéfique, les volumes du bas du visage « remontent », l’ovale se redessine.


Thomas Josse

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