Je vous emmène au cabinet du Docteur Schartz, dans le 8ème arrondissement, où s’est déroulée une soirée d’informations médicales par Galderma, l’une des filiales Nestlé, et l’un des leaders dans l’esthétique médical sur le thème de la prise en charge du visage avec différents protocoles.
La première patiente se présente, il s’agit d’une femme de 65 ans profitant de sa retraite, d’une vie d’attachée de presse, pour maintenant s’occuper d’elle. Elle aime la vie, le monde, le mouvement, elle n’aime pas être figée dans un “âge”, comme elle me le raconte au détour d’une appréhension de la “piqure”…
Donc, pour elle, ce sera subtile, une hydratation profonde pour rafraîchir son teint, estomper les ridules qui parcourent son visage, repulper sa peau. Ce sera donc un Skinboosters, cette seringue d’acide hyaluronique qui n’apporte pas de volume, mais qui a, comme objectif, d’améliorer la qualité de la peau.
Il s’agit d’un protocole sur 3 injections, chacune sera espacée d’un mois. Elle reviendra donc, et nous la suivrons dans l’évolution du traitement de sa peau… Pour aller droit vers un profil plus jeune…
La 2 ème patiente arrive, un autre profil, une autre histoire, comme cette différence qui constitue le cœur de cette profession… Il s’agit d’une artiste peintre de 46 ans, qui vient retrouver le visage serein et reposé de sa jeunesse…, perdue avec les années.
Pour elle, nous retiendrons un volumateur type “restylane perlane”, afin de combler la vallée des larmes et recréer un effet lift sur les pommettes, pour remettre son visage sous tension.
Pendant la séance, j’observe chez elle ce sentiment d’être incomprise, de n’être pas regardée de la bonne manière, que personne ne saura saisir toutes les subtilités que constituent son art.
C’est une idée un peu adolescente, un peu romantique, difficile à gérer, mais terriblement motivante, surtout quand on devient artiste. Le désir de se réhabiliter en permanence dans le regard de l’autre, de chercher à lui faire comprendre la complexité de sa peinture, d’où l’origine des créations les plus stimulantes…
Car l’équation identitaire se complexifie à mesure qu’on cherche à la résoudre. Par exemple, des personnes qui utilisent l’art pour faire entendre quelque chose d’eux-mêmes. Une filiation, une insatisfaction, une relation au monde. La toile comme abri de leurs nuances, à la fois intime et exposée.
Voilà ce qu’ils nous racontent tous : Ce désir impossible à trouver dans notre regard, l’image qu’ils cherchent d’eux-mêmes… Belles rencontres.
Je finis cette belle soirée par la visite d’un homme de 35 ans qui travaille dans la mode. Lui, cherche à séduire davantage et à se trouver en phase avec lui-même.
Le docteur lui propose donc une toxine botulique pour traiter la partie haute du visage, ne pas la figer mais lui donner cet air reposé, en effaçant les rides sévères pour accentuer ses traits… Il lui parle ensuite des lèvres. Il aimerait les réhydrater pour leur donner un coté plus “sensuel” sans tomber dans l’excès, donc, il lui conseille le produit “Emervel lips”. Avec l’anesthésiant contenu dans la seringue, l’opération est indolore, et le résultat obtenu est à la hauteur de ses attentes…
Toutes ces rencontres me font à nouveau dire que la médecine esthétique ne sonne pas trop snob, ni trop chic, ni trop bourge. Elle agit comme un axe de quasi symétrie dans l’harmonie du visage, parce qu’il est, non seulement agréable à regarder, mais aussi, nous donne le sentiment de bien se sentir dans sa peau, et cela, sans compromettre le naturel.
Pour aller plus loin dans l’aventure : http://www.docteur-schartz.org