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COMMENT SE DÉROULE UN CONGRÈS DE CHIRURGIE ESTHÉTIQUE SOFCEP ?


Après des années de course à la jeunesse éternelle, il semblerait que la chirurgie esthétique ait trouvé un terrain d’entente, bien loin du folklore hollywoodien, l’étendard ne serait pas tapageur, au contraire il parlerait principalement d’une « French Touch » essence même de la pratique quotidienne des chirurgiens esthétiques plasticiens Français.

Saviez-vous que plus de 1400 opérations de chirurgie esthétique sont réalisées en France chaque jour, soit plus de 511 000 actes par an ? 


Il est intéressant de préciser que les Français sont maintenant au  8 ème rang après les USA et le Brésil, précisons que la France était au 11e rang il y aans.
Le marché mondial de la médecine et de la chirurgie esthétique se porte bien, puisqu’en 2016 il a progressé de 8,3% pour atteindre 8,5 milliards.

Les segments les plus dynamiques du marché sont le remodelage du corps avec un taux de croissance de 16,3% et les injectables affichent une croissance de 8,3%.


Cela signifie quoi ? que cache ce désir pour le corps ?

Ce corps change, c’est une évidence, il évolue, vieillit. A l’image des muses qui sont d’une époque à l’autre plus jeunes ou plus âgées.

Les codes du beau fluctuent. Comme si le standard était inexistant, inopérant, inapprivoisable. Pourtant le corps doit susciter le désir et provoquer le bien-être. S’imposer par ses atouts.

Comment un chirurgien peut-il viser juste ? être dans la tendance en gardant son éthique ? 

Serait-ce une question de calculs savants ? d’alchimiste ? prenant les mesures utilisées par les grands peintres ?

Le nombre d’or mis en avant par des praticiens ne serait finalement qu’une sorte de conclusion hâtive permettant de contourner une explication inexplicable qu’est la règle de la beauté , la base même de la nature.

Cette réflexion sur les volumes et les formes d’un corps me conduise à cette idée ; le chirurgien n’aurait-il pas comme volonté de dompter la définition de la beauté ?

C’est de cette idée qu’est partie mon envie de comprendre, d’écrire et d’essayer d’apporter une explication rationnelle et scientifique.


Il m’a fallut aller au coeur de l’action et me rendre à Marseille, au Palais du Pharo érigé par Napoléon pour concurrencer les thermes de Biarritz. Concurrencer la beauté d’un endroit en apportant une beauté plus grande autre part. Nous y voilà, sans s’approcher du but, je suis sur la bonne piste.

Chaque année la société des Chirurgiens Esthétiques Plasticiens ( SOFCEP ), société savante crée il y a 30 ans et qui regroupent exclusivement des chirurgiens qualifiés en « Chirurgie Plastique Reconstructrice et Esthétique » organise un congrès de formation professionnelle permettant aux chirurgiens d’actualiser et d’échanger leurs connaissances.

Cette société regroupe près de 300 chirurgiens échangeant autour de points forts :
Un niveau scientifique élevé
Mise en avant d’une « French touch » par des procédures esthétiques d’une très haute qualité de formation et d’une éthique irréprochable.
Une formation et des échanges avec les jeunes chirurgiens plasticiens.

La SOFCEP s’est servie du Palais du Pharo pour le transformer en un manifeste chirurgico-esthétique. 


Mettant en avant les derrières actualités en matière de rhinoplastie, de body contouring avec la chirurgie post-bariatrique, de médecine regénérative, de chirurgie intime chez la femme et l’homme, l’approche minimale invasive de la région sous mentonnière co-brandé avec l’IMCAS Academy…


La première journée était consacrée l’ISAPS, où de très nombreux chirurgiens internationaux sont venus partager leur connaissance sous la direction de la SOFCEP et le contrôle de la société internationale.

J’ai compris pendant ces 3 jours que le chirurgien esthétique était celui qui possède une vision globale, expert de référence en esthétique. Maitrisant les solutions qui vont de la médecine à la chirurgie esthétique, ce qui permet de préconiser les traitements les plus adaptés et éventuellement de les combiner. 


La chirurgie esthétique semble avoir trouvé sa voix, ne laissant plus la place pour « l’à peu prêt », mais plutôt pour la réflexion, la confrontation de points de vue, ne parlant plus de peau mais de découpe, utilisant le cadavre comme alibi, comme compagnon dans cette démarche ( pacifiste ).

J’ai pu constater que les jeunes praticiens sont bien accompagnés, le patient est entre de bonnes mains, est-ce un avis idéaliste dû à ma profession ? une dysmorphophobie de ma pensée ? il ne me semble pas, en fait j’en suis sûr, je suis même rassuré, comme réconforté pour le patient.

Le corps est bien la nouvelle religion du XXI siècle.

Thomas Josse 


Poursuivre l’aventure : http://www.chirurgiens-esthetiques-plasticiens.com

Contact presse : Patricia Benitah : pbcom@wanadoo.fr

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