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UNE AUTRE APPROCHE FACE AU SOLEIL



Coup de soleil ? Involontaire parfois, à cause d’une application d’écran solaire oubliée ou même un filtre solaire non efficace. 


Le résultat ? nouvelles taches de rousseur, nouvelles ridules, peau rugueuse, rougeurs…

L’idée n’est pas nouvelle, mais intéressante pour en parler. Imaginez une crème à base d’enzymes de réparation d’ADN qui, une fois appliquée sur la peau après une exposition solaire, va inverser les dégâts de l’exposition, empêchant potentiellement le développement du cancer de la peau ainsi que les signes du vieillissement liés à l’UV (taches brunes, rides, relâchement… ).

Imaginez l’ADN comme une structure à double hélice. Une sorte d’escalier en colimaçon qui une fois agressé par l’exposition UV et les radicaux libres produits par des facteurs environnementaux tels que la pollution, tabac, stress…

Les escaliers peuvent se déformer et se briser. Ces déficiences entravent les fonctions de la cellule, et peut finalement provoquer des mutations qui conduisent à une mort cellulaire avancée, un fonctionnement cellulaire ralenti ou un cancer cutané. Pendant longtemps, notre première ligne de défense est l’écran solaire minéral ou chimique, dont le but est de protéger mais pas de traiter.

Évidement en post exposition solaire nous avons les fameux antioxydants enzymatiques ( super oxyde dismutase, catalase… ) et non enzymatiques ( vitamine C, E … ) des molécules qui piègent les radicaux libres. Même les plus puissants antioxydants ne peuvent que dévier le dommage mais ne peuvent pas le guérir une fois qu’il a déjà eu lieu.

Les antioxydants agissent en bloquant les effets de molécules réactives dans les cellules ou hors de la cellule, les enzymes de réparation d’ADN, coupent littéralement l’ADN endommagé, comme des ciseaux pour corriger la séquence et la remplacer.

Notre peau a une boîte à outils naturelle, contenant naturellement des enzymes pour réparer l’ADN endommagé.
Mais, comme nous vieillissons, les niveaux de ces enzymes baissent. Comme si les réparations devenaient moins efficaces, et l’accumulation des dommages fragilise l’organisme.

Les enzymes sont extraites de diverses sources naturelles ( le plancton, un type de bactérie appelée microcoque.. )
Pour qu’il pénètre dans la peau, là ou nous les attendons, il faut les encapsuler dans des liposomes ( un véhicule composés de 2 couches lipidiques contenant l’actif au milieu ) pour faciliter l’absorption par l’épiderme.

Le bénéfice de cette application à moyen-long terme est de renforcer la capacité de réparation de la peau et aussi de la rendre plus saine.

Il est important de comprendre que lorsque vous avez été victime des méfaits du soleil, vous ne pouvez pas défaire ce qui a été fait.
Mais, vous pouvez l’améliorer avec les traitements traditionnels topiques comme la vitamine A, les facteurs de croissance ( méfiance ), et les peptides. Ils contribuent tous à promouvoir la croissance du collagène et le développement des cellules saines, mais ils n’ont pas prouvé qu’ils participent à l’inversement des dommages de l’ADN.

Des études, publiées dans la revue « médicale The Lancet en 2001 ». Des scientifiques ont testé une lotion à base de l’enzyme de réparation de l’ADN sur 30 patients souffrant d’une maladie héréditaire rare qui les prédisposait à un cancer de la peau. 

Après un an, le développement de la kératose actinique ( le plus commun des lésions précancéreuses de la peau ) a diminué de 68%, et le développement des carcinomes baso-cellulaires a chuté de 30%.

Une étude de 2008 publiée dans le « Journal of Cosmetic Dermatology » a montré qu’une crème hydratante avec des enzymes de réparation d’ADN empêché la suppression immunitaire dans les cellules de la peau qui se produit généralement après l’exposition aux UV.

Une étude de 2013 publiée dans « le Journal of Drugs in Dermatology », des biopsies de peau humaine prise 24 heures après l’irradiation UV ont montré que les enzymes de réparation d’ADN avaient complètement empêché la dégradation des télomères qui sont liées à de nombreuses maladies liées à l’âge.

Ces enzymes aident non seulement à prévenir les lésions précancéreuses, ils empêchent également les taches pigmentaires et aide à épaissir la peau en inhibant le développement de la collagénase, la protéine qui dégrade le collagène.

En plus de fournir cette liste d’avantages à long terme, les enzymes de réparation d’ADN agissent presque immédiatement ( en moyenne une heure ) pour atténuer les effets de l’exposition au soleil. 

Après une longue exposition solaire, ( je le déconseille ). Les fameux escaliers colimaçons (ADN) seront endommagés. Les enzymes naturelles dans vos cellules vont les réparer dans une certaine mesure, mais pas totalement. Donc, la meilleure chose que vous pourriez faire serait d’appliquer des enzymes de réparation d’ADN sur la peau.

Je tiens à préciser, que ces enzymes de réparation ne sont pas l’équivalent « de la pilule du lendemain ». Car Il y’a en fait deux types d’ADN régissant la santé de notre peau: l’ADN dans le noyau de la cellule, qui peut être reconstruite avec des enzymes de réparation, et l’ADN dans la mitochondrie ( source énergétique de la cellule ) qui ne peut pas être reconstruit avec ces enzymes.

Les deux doivent être protégés pour que la peau puisse fonctionner à son meilleur niveau. Une chose est certaine, il est beaucoup plus facile d’essayer de prévenir les dommages de se produire en premier lieu que d’essayer de le réparer.

Lorsque l’ADN mitochondrial est blessé de nouveau, le coupable est généralement le métabolisme énergétique du soleil lui même et la cellule est paralysée. En conséquence, tout ce dont votre peau a besoin en énergie est réduit…

La production de collagène sera plus lente, de même que la production d’élastine et d’antioxydants naturels. Les signes du vieillissement seront accélérés.

Mais même s’il n’y avait rien qui va effacer les dommages à l’ADN mitochondrial, un ingrédient topique tel que la niacinamide ( une forme biologiquement active de la vitamine B3 ) peut essentiellement agir comme un booster pour les niveaux d’énergie des cellules.
Un niveaux d’énergie accrue, peut augmenter la probabilité que votre ADN sera en mesure de rassembler une quantité abondante de ses propres enzymes de réparation naturelle. Tout est lié !

EN CONCLUSION 

Les enzymes de réparation d’ADN peuvent être très intéressantes dans la prévention du cancer de la peau, et elles seront certainement capables de fournir un niveau supplémentaire d’énergie de la peau dans un traitement anti-âge en améliorant le collagène et la prévention de l’hyperpigmentation.

Elles devraient être considérées comme un atout puissant à votre arsenal plutôt qu’une baguette magique.
Malheureusement, il n’y a pas un seul ingrédient qui va faire tout le travail. Vous avez besoin de mettre en place plusieurs ingrédients pour obtenir la meilleure protection.

N’oubliez pas, les antioxydants sont comme les extincteurs d’un incendie. L’incendie est causé par la lumière UV, la pollution, le tabac… qui conduisent à l’inflammation de la peau et, finalement, à des dommages de l’ADN. 


Les ingrédients de réparation d’ADN, les antioxydants enzymatiques et non enzymatiques, les oligo-éléments, peptides… sont comme les parfaits alliés pour reconstruire les dommages. Mais aussi pour la prévention primaire avec un bon filtre solaire minéral toute l’année. 

Thomas Josse

Contact communication : aesthetics75@gmail.com

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CONGRES IMCAS 2016 – EXHIBITION


La flânerie, cette douce somnolence qui nous enivre et laisse la place à l’imprévu… Enfin cette fois-ci pas d’imprévu car j’avais rendez-vous à l’IMCAS, le plus important congrès mondial de chirurgie et dermatologie esthétique qui forme les médecins et annonce les tendances et avancées scientifiques de demain… C’est cela l’IMCAS est ce depuis 18 ans.

L’exigence demeure, celle de présenter les innovations, évolutions 2015 et les révolutions à venir, développées par des experts mondiaux et chercheurs, celle de se perfectionner pour améliorer l’acte, le rendre moins invasif, plus précis, plus naturel … la french touch, parce que la beauté n’a pas d’âge et qu’ être belle n’est pas forcément synonyme d’être jeune, c’est un équilibre entre l’être et le paraître.

J’ai échangé avec des professionnels, et j’ai eu le sentiment que ce laboratoire du futur d’apparence futile dont les discussions tournent autour d’un nez en galoche, d’une ride rendant un visage fâcheux ou d’une tache trompant un teint éclatant, m’a permis d’être plus ouvert sur le monde et les cultures qui le compose. Un lieu qui raconte l’intelligence collective et la curiosité naturelle de la profession en rassemblant plus de 6000 participants de 85 pays ….

L’esthétique c’est aussi un marché celui de l’esthétique médicale , qui se porte bien et réalise une solide croissance en 2015 de +8,2%, qui devrait afficher cette même tendance jusqu’en 2020.

Les européens ont enregistré une croissance d’environ 6% par an, les américains de 7% par an, et les asiatiques ont la plus forte progression avec 13% par an.

La tendance est aux traitements d’esthétique médicale (injections d’acide hyaluronique, de toxine botulique, laser, radioFréquence…), qui prennent le pas sur les interventions de chirurgie, mais celle–ci aura toujours sa place notamment pour les lipoaspirations, augmentations ou réductions mammaires, et surtout pour le lipofilling l’injection de sa propre graisse dans le visage ou le corps et bien sûr en reconstruction.

Venues pour découvrir sans évidemment pouvoir écouter les 1300 lectures proposées et les nombreux enseignements sur les derniers développements scientifiques du secteur, dans le respect de l’éthique et de «l’evidence based medicine», à vrai dire c’était étonnement passionnant.

Cette année l’IMCAS a même lancé sa plate-forme de e-learning, l’IMCAS ACADEMY pour être ligne avec un monde ultra connecté.

Les professionnels sont connectés, mais aujourd’hui ce sont les consommateurs/patients qui utilisent de plus en plus les médias sociaux (exemple Realself.com, Facebook…) et modifient d’ores et déjà leurs relations avec leurs médecins.

Des idées , des images, remontent dans nos esprits comme des bulles enivrantes. On marche, on déambule, on se perd pour mieux trouver ce qu’on ne cherchait pas … Comme l’explication du fonctionnement des cellules souches en médecine régénérative, de la graisse qui se détruit (par le chaud, le froid) ou se greffe, l’induction tissulaire en cas de pertes de volume ou cette rhinoplastie ultrasonique venue du futur…

Cette année l’IMCAS a mis à l’honneur Versailles, tel est le thème d’une soirée consacrée à la recherche du cancer du sein.

La flânerie, qui irrigue chacune des nouveautés de l’année. La flânerie est un sport, stimulant. On y est à la fois seul et très entouré, l’esprit flottant au-dessus des stands, le nez en l’air, le regard attiré par ce que la foule affairée est en train de contempler….

Au détour d’un couloir, au coin d’un stand ou encore dans une salle de conférence non répertoriée par les drones ou le satellite car éphémère… des hommes et des femmes, des objets apparaissent comme des surprises qui nous enchantent, et interpelle notre curiosité insatiable sur ce que les laboratoires préparent aujourd’hui pour demain

Des découvertes plein la tête pour vous les raconter comme si un congrès était passé par là…

L’IMCAS s’exporte depuis 9 ans à international, avec plusieurs autres congrès chaque année : l’IMCAS INDIA (Mumbai), l’IMCAS CHINA (Shanghai), l’IMCAS ASIA (Bali, Taipei) et l’IMCAS AMERICAS (Cancun) pour celles ou ceux qui n’ont pas eu envie de flâner…


Pour continuer l’aventure : http://www.imcas.com/en
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Thomas Josse 
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L’ACIDE HYALURONIQUE PAR TEOXANE



Le vieillissement de la peau et ses conséquences sont au cœur des préoccupations contemporaines. En effet, rester jeune (ou plutôt paraitre jeune) le plus longtemps possible est important, voire primordial dans notre société et dicte le plus souvent nos relations intimes, amicales et professionnelles. Des solutions existent pour rester jeune: la médecine esthétique apporte de nombreuses solutions, les bons conseils sur rester actif fleurissent sur les magazines, nos assiettes s’allègent etc. Mais qu’en est-t-il de nos cosmétiques ?
Ingrédient phare de cette décennie en terme de médecin esthétique, l’acide hyaluronique est présent à toutes les sauces. Dans les cosmétiques, dans les compléments alimentaires, chez le dermatologue ou médecin esthétique… Mais le connait-on vraiment ?

A la manière d’une « éponge moléculaire », l’acide hyaluronique est capable de retenir plus de 1000 fois son poids en eau, il restaure les propriétés élastiques de la peau, contribue à son hydratation et permet de lisser sa surface. L’acide hyaluronique est un sucre, naturellement présent dans l’organisme pour assurer l’hydratation et la souplesse de la peau. Ses quantités diminuant avec l’âge, les rides et la sécheresse cutanée s’installent.

En médecine esthétique ou dans les cosmétiques c’est différent, car il provient d’une bactérie qui le synthétise. Cela ne présente aucun risque étant donné que l’acide hyaluronique synthétisé par cette bactérie est le même que nous produisons dans notre corps et que toutes les impuretés sont effacées.

En médecine esthétique, nous l’utilisons de différentes manières: il peut être “fluide” comme en mésothérapie et injecté superficiellement pour hydrater la peau. Malheureusement, la mésothérapie offre en général un résultat à court terme (quelques mois). Il peut également être réticulé ( il a subit une modification dans sa structure pour le rendre stable et volumateur )

Pour cela l’industrie pharmaceutique utilise un agent chimique (appelé agent réticulant) qui va lier les brins d’acide hyaluronique et créer ainsi un gel d’acide hyaluronique, plus stable à la dégradation.

Sous cette forme, il permettra d’effacer les ridules, rides modérées et profondes et permettra de redonner du volume aux lèvres, aux pommettes, aux tempes… des indications nécessitants un pouvoir de soulèvement des tissus.

En cosmétique, donc dans une crème ou un sérum, l’acide hyaluronique peut avoir différents plusieurs poids moléculaires ( et donc différentes longueurs de chaîne ) et agir différemment sur la peau. De poids moléculaire faible ou moyen, l’acide hyaluronique va pouvoir pénetrer la peau et pourrait jouer un rôle dans la la prolifération des cellules cutanées, processus qui intervient lors la régénération tissulaire et cicatrisation des plaies. De haut poids moléculaire, et donc incapable de passer la peau, il entrainera un effet hydratant sur sa couche extérieure ( couche la plus superficielle ).

Les laboratoires Teoxane sont connus pour être expert en comblement des rides depuis plus de 10 ans, ayant mis au point une technologie innovante et unique dans le monde de la médecine esthétique ( RHA pour acide hyaluronique résilient ; constituant un”maillage dynamique” pour une parfaite intégration de l’implant d’acide hyaluronique dans les zones injectées, ce qui permettra à l’implant de “devenir une partie intégrante du derme” et de suivre de manière souple, dynamique et naturelle les mouvements du visage ).

Quel lien me diriez-vous entre les implants injectables et la cosmétique ? Si ce n’était pas évidement l’acide hyaluronique lui même. 

L’idée de départ je ne la connais pas, mais en se disant que d’appliquer un hydratant classique qui aura un effet occlusif, parce que le terme “hydratant” relève bien plus du marketing que de la science. 

En effet, il sous-entend que les produits concernés apportent de l’eau à la peau. Or, la peau est presque totalement imperméable à l’eau venant du milieu extérieur. Seule une petite quantité peut pénétrer entre les cellules mortes en phase de desquamation. Cette hydratation “directe” se produit lorsque l’air est saturé en eau ou lorsqu’on applique de l’eau ou un cosmétique très riche en eau sur la peau.
Elle apporte une sensation de fraîcheur et de douceur immédiate. Cependant, elle est extrêmement fugace, l’eau étant très rapidement éliminée par évaporation et n’atteignant jamais les couches cutanées les plus profondes.A l’extrême, on peut même penser que la pénétration d’eau dans la peau est plus néfaste que favorable, car il se forme des microgouttes dans le ciment lipidique, ce qui altère la barrière cutanée.

Or je précise que la préservation de la barrière cutanée est primordiale pour protéger notre corps contre toute aggression extérieure (bactéries, virus, chaud, froid intense etc.) 

Afin d’hydrater au mieux la peau, il faut donc un produit qui attire et retienne l’eau provenant du derme à l’intérieur des cellules épidermiques en renforçant les NMF : rôle des agents humectants naturel à la peau.

Sur le marché nous disposons de produits


– Les filmogènes gras  ne pénétrant pas dans l’épiderme. Ils agissent en surface en renforçant ou en remplaçant le film hydrolipidique et freinent efficacement l’évaporation de l’eau. On les appelle également agents occlusifs. Les inconvénients des agents occlusifs sont leur texture grasse, épaisse, qui empêche la peau de “respirer” et lui donne un aspect huileux. En outre, ils n’ont aucune action durable sur la qualité de la peau.

– Les filmogènes hydrophiles sont composées de très grosses molécules capables de “capturer” de nombreuses molécules d’eau dans leur squelette, créant ainsi un “hydrogel”, lequel forme à la surface de la peau un film hydraté. Celui-ci freine l’évaporation de l’eau, mais laisse la peau respirer. Il peut même apporter, transitoirement, une hydratation superficielle. ( protéines : collagène, élastine – glucides complexes : GAGs ou glucosaminoglycanes (acide hyaluronique, chondroïtine sulfate), chitosane, polymères hydrophiles d’origine végétale…

Les agents émollients lissent, assouplissent et protègent la surface de la peau en comblant les microfissures qui se forment entre les cellules des couches superficielles de l’épiderme. On les qualifie parfois d’agents restructurants. Ils s’opposent à l’évaporation de l’eau, mais pas aussi efficacement que les agents filmogènes (sauf si on les applique en couche épaisse). En revanche, comme ils sont constitués de lipides naturels, ils sont susceptibles de pénétrer plus profondément dans l’épiderme et d’y jouer un rôle actif…

Pour résumer l’hydratant classique va être trop occlusif, l’acide hyaluronique va retenir l’eau comme il le peut…

…mais alors si nous nous servions de la technologie RHA pour créer une structure apportant un maillage sur la couche extérieure de la peau, une durabilité et un pouvoir de rétention supérieur en termes d’hydratation?

C’est exactement cela que les laboratoires Teoxane proposent ! 


Une réduction de la perte en eau est réduite de 21% par rapport à celle observée avec un acide hyaluronique pur.

Un épiderme qui contient 8% d’eau en plus comparé à un épiderme traité avec de l’acide hyaluronique pur (qu’il soit de haut, de moyen ou de bas poids moléculaire).

En résumé, les laboratoires Teoxane offrent une gamme de cosmétiques renforçant la barrière cutanée avec une technologieinnovante, unique et brevetée, associant des anti-oxydants, minéraux, vitamine et acides aminés… travaillant tous en synergie avec le maillage d’acide hyaluronique pour protéger et revitaliser votre peau.

Néanmoins beaucoup de produits finis existent et méritent de l’être de par leur efficacité et leur tolérance et c’est là qu’une donnée fondamentale est à prendre en considération pour le choix du produit : quel confort, quelle sensation agréable apporte le produit sur la peau lors de son utilisation par le patient ? De cela dépend inévitablement son acceptation. Pour beaucoup de fabricants, cet aspect reste le principal.




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REMERCIEMENTS

Par la simple addition d’un titre, d’une photo et de quelques phrases, on peut vite avoir le sentiment que l’on a cerné l’article, c’est d’ailleurs toute ma prise de tête…
Certains disent que mes publications ont évolué.
Comme si mon discours avait gagné une nuance supplémentaire : un certain regard social accentué, un peu plus mystique parfois, quand d’autres articles ironisent sur la profession…

Tous ces médecins qui essayent de s’inscrire parfaitement dans la continuité de leur ancêtre (Hippocrate), tout en rajoutant un truc nouveau. Ce ne sont plus les techniques habituelles, l’injection se fait différemment, le visage prend d’autres formes…

Alors, imaginer mon case tête : miser sur l’habitude ? Miser sur sur la nouveauté ? Raconter la nouveauté dans l’habitude ? Ou l’habitude dans la nouveauté ?
En tout cas, je peux vous dire que c’est pour cette raison précise qu’on sera là, dans 3 heures, 3 ans, 300 ans, pour y réfléchir, réfléchir à trouver l’accord parfait.

Mais pour le moment, je remercie chaleureusement tous ceux qui m’aident à développer et à perfectionner mon site, mes rédactions, mes connaissances… A tous les médecins, aux laboratoires, aux professionnels passionnés par cet univers fascinant… Merci !

La médecine devient légendaire… Et la beauté demeure.


Thomas