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L’ART DE CE QUI NE SE VOIT PAS



La phrase d’introduction de cette chronique pourrait-être : Il y a le naturel et il y a les normes. Deux critères qui ne sont pas faits pour s’entendre.

On se perd en conjonctures. Les options qu’offre aujourd’hui le médico-chirurgico esthétique ne relèvent plus uniquement de la technique mais de la philosophie.

Et que penser de cette idée d’uniformisation de la beauté que les médias veulent nous imposer ? Rappelons que la beauté n’est pas universelle, les demandes sont fort différentes selon la culture dont elles émanent.

En France nous pouvons dire qu’il existe deux courants ; d’une part la recherche de la beauté photographique ( la géométrie des composants d’un visage ) et d’autre part la mise en valeur de l’expression d’un visage ( dynamique )

Prenant comme exemple les nuances des expressions dont un sourire peut témoigner qui sont multiples.

Un sourire exprime un élan, une énergie, un désir. C’est ce désir qui est beau et attirant. Rencontrer l’autre avec un sourire authentique n’a rien à voir avec l’affichage d’un sourire commercial, à moitié figé, qui, lui, crée une distance.

Le sourire façonne le visage et lui confère une identité qui ne vieillit jamais.

Pour de plus en plus de praticiens la révélation d’une photo face au défilement d’une pellicule est une quête nettement plus intéressante.


De nombreux praticiens peuvent se demander comment communiquer cette approche à des patients potentiels. 

Pourquoi la photo avant / après n’est pas la bonne piste ? 

L’expression, c’est le mouvement. Le but est non pas une « photo après » avec des traits rajeunis de 10 ou 20 ans, ou encore conformes à des normes, le but est une mise en évidence d’une belle expression d’un visage et de ses mouvements. Il n’y a pas de belles bouches. Il y a de beaux sourires.

Comment pouvons-nous alors qualifier l’avant/après ? 

Sous une apparence de facilité, l’acte doit permette la mise en valeur de l’expression. Avec l’aisance et le naturel qui caractérisent l’art de la Renaissance, ce que l’on nomme « la sprezzatura », où l’art extrême consiste en une absence d’art visible….

Si un résultat parait « simple » à atteindre, sachez que ce qui paraît simple peut être en réalité très compliqué, si vous voulez assurer la pérennité du résultat.

L’art n’est plus seulement la prouesse du praticien. La prouesse est aujourd’hui l’art de ce qui ne se voit pas.

Personnellement, je reste attaché aux résultats naturels. Je ne suis pas un adepte des modèles standard et duplicables. Les traits doivent refléter le caractère. Car la vraie beauté est intérieure.

Malheureusement le médico-chirurgico est confronté à une époque dans laquelle l’hypocrisie a pris la première place du podium médiatique.

Des exemples nombreux et positifs d’interventions répondent à une réelle demande et sont les vecteurs indispensables de l’intégration dans notre société conditionnée par son image. Nos sociétés occidentales ont elles perdu la valeur fondamentale de l’existence ?

Donner l’envie de vivre pleinement avec simplement un « mieux-être » apporté par des mains expertes est donc devenu tabou pour quelle raison ?

Ne l’oublions jamais, le but du praticien est de répondre à la demande d’une personne qui désire un mieux-être et non pas d’imposer tel ou tel point de vue ! 

Le praticien n’est pas un juge de ce qui est beau et de ce qui ne l’est pas. Il vient au secours d’une personne qui désire une amélioration de son apparence, Ni moins, ni plus.

Thomas Josse


Contact communication ; agencethomasjosse@gmail.com

LE POINT DE VUE DE L’EXPERT 

Interview du Docteur Hugues Cartier, Dermatologue esthétique à Arras – 


En tant que dermatologue, vers quoi la demande des patient(e)s va-t-elle se tourner dans les années à venir ? 


Le bien être plus que le mieux-être. La demande a bien évidemment évolué avec des patients plus jeunes, voire très jeunes qui cherchent une modification, les milleniums à la recherche d’info, les matures en quête d’une solution pour freiner le temps jusqu’au-delà du troisième âge qui se dise, jamais trop tard.

Le choix ses possibilités s’est enrichi avec une multitude d’appareils, des produits de comblement et l’indispensable toxine botulinique. 

Si la chirurgie s’est raffinée, dans le domaine médical il manque encore une protocolisation de la prise en charge adaptée à chaque demande. Il faut disposer de tout un éventail d’appareils, maitriser la pose des fils, anticiper les effets des inducteurs collagéniques pour couvrir les indications ce qui peut troubler le patient qui doit rester « humain » en évitant le clonage de la beauté.

Pensez-vous que l’approche psychologique est trop souvent absente dans la profession ? 


La réponse va de soi, tout praticien pense que son approche médicale le protége d’aborder une dimension psychologique ou sociétale. 

Mais à moins d’être complétement hermétique à ce qui se passe autour de nous, elle est intimement liée à notre exercice médical. Certaines publications estiment déjà que nous avons plus de 10% de dysmorphobes, les repérer est indispensables afin de s’éviter des conflits face à des attentes irréalisables ou qui pourrait mettre danger le patient.

Vous êtes plutôt un adepte de l’embellissement ou du rajeunissement ? 

C’est quoi la beauté ? C’est quoi sentir bien dans sa peau, dans sa vie ?

Une fois que le patient a compris que nous sommes avant tout des artisans pour modifier une asymétrie, freiner les effets du temps avec des artifices techniques et rappeler que la prévention par des règles hygiéno-diététiques reste la base alors tout ira bien. Savoir refuser est un exercice difficile face à un patient qui ne comprend pas forcément que lui aussi veut en être comme les autres.

La démocratisation de l’esthétique dermatologique n’est plus réservée à une frange de population. L’instantanéité de la demande induit aussi un bouleversement de la prise en charge et de notre façon d’être.

La beauté, répond aussi à une notion de temps, que dire d’un enfant qu’il est laid et d’une personne très ridée mais qui reste belle selon des canons de la beauté qui ne suivent pas forcément les règles du nombre d’or. 


Ce n’est ni une cathédrale qu’on ne construit ni une voiture volée qu’on maquille, mais un être humain avec tous ses défauts et ses qualités qu’on doit remettre en accord avec lui-même. Il suffit parfois d’un presque rien voire juste de discuter qui les rendent heureux, en paix avec eux-mêmes , d’une beauté au-delà du seul physique.

Poursuivre l’aventure ; https://www.cartier-dermatologie.fr/ 

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POURQUOI NOUS NOUS EFFORÇONS DE JUGER LA BEAUTÉ ?




Nous revêtons l’habit du juge pour nous accuser mutuellement de tous les maux. 

Comment expliquer cette désertion du dialogue rationnel au profit de l’invective et du procès d’intention ? Comment aborder frontalement et sans esquive les sujets qui fâchent, mais dont il est urgent de discuter, quand fleurissent la caricature, l’injure et la diabolisation de celles et ceux qui ne pensent pas comme nous ?

L’intolérance qui s’insinue de façon croissante dans nos échanges a certes de quoi nous séduire, tant il est confortable de demeurer dans le cénacle d’un entre-soi idéologique, à l’abri des remises en question.

Mais à quel prix ? À force de se tenir loin de l’opposition, de s’enfermer dans un cocon hermétique aux voix discordantes, on en vient à confondre la critique et l’insulte, à prendre la contradiction argumentée pour une attaque personnelle, et générer des tempêtes polémiques, dans des verres d’eau.

Nous ne dialoguons plus : nous agressons et nous nous défendons, à tour de rôle. Nous avons troqué l’analyse dépassionnée pour l’indignation permanente. Qu’importe ce que l’on dit, ce que l’on faits : on sera jugé pour ce que l’on est aux yeux des accusateurs, et le verdict, prisme de lecture aussi immuable que lapidaire, nous exclura à jamais du champs des interlocuteurs acceptables.

Il nous faut réapprendre à nous parler, au lieu de nous maudire, à débattre, et à réfléchir avant de juger. À penser, en somme. C’est-à-dire à questionner sans cesse, au contact de l’altérité, nos certitudes sédimentées, élever le dialogue au rang d’art de vivre, comme un antidote au dogmatisme, que dés lors que nous interrogeons les raisons derrières nos opinions, nous nous ressemblons plus par nos perplexités que par nos convictions.

Pourquoi la beauté est tant critiquée ? Est-ce en rapport avec sa désinvoltante légèreté ? 


Elle nous fait perdre nos repères, révèle un sens caché en nous. Sauf que la plupart des gens oublis que la beauté apporte un élan, un détournement. Elle nous apporte la maitrise du plein et du vide. Le charisme passe, la beauté reste, elle est utile dans une époque qui prône la noirceur. C’est la beauté que les terroristes ont toujours voulu tuer….

Qu’y a t-il de plus vivant que la beauté ? 

La beauté provient de la différence, d’histoires, d’identités, de pensées, de désirs, sans oublier qu’elle apporte l’intime assurance d’être soi et de ne le devoir à personne ! Ne retenez rien, savourez-la !

Thomas Josse

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LA « FRENCH AESTHETIC TOUCH » PAR LA SOFCEP 2018 !



Qui ne rêve pas d’un corps à la forme de caresses ? Qui ne rêve pas de se prélasser sur une plage qui n’existe pas encore mais qu’il faudra bientôt apprivoiser ?

De cette émotion qu’est le dialogue corporel prêt à tout submerger, aussi explosif qu’impulsif, le corps se veut parfait ! Le visage n’est donc plus l’unique préoccupation des chirurgiens !

Le combat des femmes et des hommes pour un corps plus beau n’est pas nouveau, l’histoire nous l’a prouvé. Lyon, rayonne aujourd’hui par la présence de chirurgiens tous membres SOFCEP et pour certains membres ISAPS, mais tous au service d’une beauté pluriel, multi ethnique, contemporaine et surtout mondiale grâce à la raisonnance de l’IMCAS et de l’ISAPS…..

En pleine turbulence existentielle, la chirurgie en France semble apaisée, l’alignement des planètes semble être favorable à la « French Touch » comme en témoigne cette édition présidée par le Docteur Gilbert Vitale. Quelles en seraient les raisons ?


Le premier élément de réponse serait la remise en question de la profession, les approches non invasives qui se multiplient, la non éviction sociale devenu le nouveau St-Graal pour répondre aux demandes de patients toujours plus pressés.
D
‘après le Dr Sebastien Garson le praticien de doit pas perdre de vue la dimension thérapeutique des actes. Pour les patients cela ne fait aucun doute et ils ont raison !
Les chirurgiens plasticiens sont des médecins avant tout et les 13 années de formation leurs ont appris à offrir une réponse thérapeutique la plus adaptée pour chaque demande.

La chirurgie du future serait-elle un mélange de sculpteurs, psychologues, techniciens, chefs d’entreprises, mais de plus en plus à l’écoute…
Au-delà de promouvoir la « French Aesthetic Touch » à l’international, la SOFCEP souhaite éduquer, éveiller, professionnaliser ses membres pour redorer l’image du renouveau d’une chirurgie aussi ancienne que récente. 




Quels sont les grandes évolutions techniques et thérapeutiques présentées lors de la SOFCEP 2018? 



La chirurgie de l’intimité connaît un développement mondial. Elle ne peut être pratiquée que par des chirurgiens plasticiens ou des chirurgiens gynécologues ayant une bonne connaissance anatomique et physiologique de cette zone.

À savoir ; La SOFCEP a signé un partenariat avec le GRIRG (Groupe de Recherche et d’Innovation en Restauration Génitale) !
La chirurgie des grandes lèvres, la nymphoplastie, les injections d’acide hyaluronique réhydratants, les lasers gynécologiques mais aussi les LED améliorent la vie intime de toutes les femmes comme l’explique le Dr Gilbert Vitale.

L’homme n’est pas en reste avec une forte croissance de la pénoplastie ( élargissement pénien et allongement pénien ).

La recherche d’un résultat naturel « La French Touch » a toujours été une des préoccupations majeures des chirurgiens plasticiens français.

En matière de chirurgie du sein, de nombreuses évolutions sont apparues récemment afin d’obtenir un résultat le plus naturel possible. Cette nouvelle tendance qu’est le sein composite ; l’association, lors d’une même intervention, de deux techniques complémentaires : la pose d’implants mammaires et le lipomodelage du sein, comme en témoigne le Dr Eric Plot, semble susciter une désirabilité accrue !

Des fils d’or de l’antiquité Egyptienne aux fils biorésorbables ou non, lisses ou crantés, la technologie, les produits et les nombreuses techniques novatrices de ces dernières années permettent aujourd’hui d’obtenir des résultats satisfaisants et plus pérennes.

Il convient de différencier les fils utilisés dans les liftings conventionnels et les fils pour l’essentiel crantes utilisés dans l’attente d’un lifting, en cas de refus de chirurgie cervico-faciale ou pour optimiser un résultat de lifting insuffisant ou vieillissant nous explique le Dr Thierry Van Hemelryck. 


Il est intéressant de savoir que le patient peut bénéficier de la combinaison des techniques médico-chirurgicales pour apporter une réponse efficace, durable et personnalisée

D’après le Dr Aurélie Fabié-Boulard, le chirurgien esthétique maitrise les solutions qui vont de la médecine à la chirurgie esthétique ce qui lui permet de préconiser les traitements les plus adaptés et éventuellement de les combiner.

En 2018, le culte du corps, mince et jeune est une préoccupation des femmes et des hommes. Les techniques chirurgicales et médicales, ainsi que les machines ont évolué. Elles permettent de gérer les reliefs corporels, mais également la qualité de la peau.

Le profil du patient qui consulte est un patient d’environ 30 à 55 ans, sa demande : retrouver un corps svelte, dessiné, qu’il a connu ou désiré, sans cellulite, sans vergeture, et tonique.

Les techniques non invasives sont représentées par la Cryolipolyse, le Cellfina, l’Ulthéra, la radio-fréquence et les leds. Sans oublier les solutions de MEDISPA pour une approche plus holistique, avec des conseils cosmétiques, conseils hygiéno-diététiques, massages, drainages et soins esthétiques….

Le renouveau des liftings cervicofaciaux est sans aucun doute lié à une approche plus fine devenue indispensable ces dernières années. 

C’est à la fois réjouissant pour les patients et pour les chirurgiens. L’idée de réaliser un lifting « sur – mesure » est satisfaisante car évitant le caractère visible du lifting mais surtout répondant à la demande du patient.

Mais c’est surtout depuis une vingtaine d’année, l’étude de la volumétrie du visage qui a apporté un raffinement des résultats d’après le Dr Michel Rouif. 

Dans cet esprit de simplification des techniques, la médecine esthétique a apporté incontestablement des solutions intéressantes tant pour la volumétrie par l’usage de produits de comblement résorbables (à l’inverse des greffes graisseuses, essentiellement l’acide hyaluronique mais aussi l’hydroxyapatite de calcium), que pour le traitement des rides d’expression avec la toxine botulique. 

Encore une fois, ces outils moins invasifs s’inscrivent parfaitement dans une gestion plus « sur mesure » de l’embellissement et/ou du rajeunissement facial que le chirurgien plasticien pourra proposer. 

L’association de ces techniques permet donc de proposer aujourd’hui réellement un plan thérapeutique, « sur – mesure », qui respecte l’harmonie des visages et le souhait des patients. 

Le chirurgien deviendrait l’un des référant face à des femmes et des hommes qui ont besoin de se construire une nouvelle image, comme si c’était le nouveau sens de la vie…
Une chose est sûre, cette édition me met en tête l’idée que la beauté n’est ni une convenance ni un étendoir mais juste un état d’être… voila une belle philosophie de mon métier, rencontrer les acteurs de votre beauté ! 




Thomas Josse 


LA SOFCEP aujourd’hui : 


La Société Française des Chirurgiens Esthétiques Plasticiens (SOFCEP) est une société savante créée il y a 30 ans et qui regroupe exclusivement des chirurgiens qualifiés en « Chirurgie Plastique Reconstructrice et Esthétique » par le Conseil National de l’Ordre des Médecins dont l’activité principale est la chirurgie esthétique.  

Depuis 2012, les congrès annuels de la SOFCEP ont eu lieu tous les ans en France en collaboration avec la Société Internationale des Chirurgiens Esthétiques Plasticiens (ISAPS) de façon systématique depuis 2014. Se sont associés à ce rendez-vous scientifique la société américaine des chirurgiens Esthétiques Plasticiens (ASAPS) en 2014, puis les sociétés homologues italiennes (AICPE), anglaise (BAAPS), les sociétés de la méditerranée, puis prochainement les sociétés « alpines » autrichiennes, suisses, allemandes, et espagnoles – par extension. 


Cette dynamique forte a abouti à la signature d’un partenariat soutenu avec la société américaine (ASAPS) en 2014, collaboration d’échange où la délégation française possède son propre pavillon français lors du congrès américain. De jeunes chirurgiens français en formation bénéficient ainsi chaque année d’un vrai support de leurs ainés pour assister à ce congrès qui est le congrès annuel chirurgical le plus important actuellement. 
Depuis cette date le congrès français quant à lui, tout en gardant sa spécificité tricolore, s’est donné tous les outils nécessaires pour permettre à nos collègues étrangers les plus brillants, et les plus francophiles, de venir présenter leurs techniques dans un environnement qu’ils affectionnent tout particulièrement. Ainsi le savoir-faire à la française, que nous avons décliné selon un programme labellisé « French Aesthetic Touch » se fait connaitre par son sérieux, sa créativité, sa convivialité, son histoire médico-chirurgicale solide et son goût tout particulier pour les résultats les plus naturels, comme l’explique le Dr Michel Rouif, secrétaire général de la SOFCEP, mais aussi visionnaire… 




Contact communication : agencethomasjosse@gmail.com

Merci à Patricia Benitah – Agence PB Communications pour son professionnalisme

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VOULOIR ÊTRE UN OU UNE AUTRE EST LA SOURCE DE CHAGRIN !


Nous avons de la chance de naître avec la tête qui nous convient. Ou pas. La vie souvent rétablit le injustices, qui fait de nos différences un atout, une marque de fabrique.

Ces imperfections que nous maudissions, nous apprenons à les chérir, peut être avec une certaine force de caractère. Nos défauts nous permettent de réinventer une certaine définition de la beauté : une affirmation de soi que l’on défend, surtout contre l’avis général. Mais que l’on affirme si fort que notre énergie finit par l’emporter !

Parce qu’en vérité vouloir être un ou une autre est la source d’innombrables chagrins. En revanche, devenir cette « meilleure version de soi-même », voila qui est intéressant. Et puis, en matière de beauté, certaines choses sont immuables : lire, rire, parler, faire des bêtises, vivre chaque jour au maximum ! Il n’y a rien de mieux pour avoir le teint frais !

Se reposer dans un parc en lisant le livre qui inspire « l’univers à portée de main » de Christophe Galfard » . C’est vraiment le rapport à l’infini qui est passionnant. Il l’explique avec beaucoup de simplicité.

Parce que l’harmonie intérieure se reflète à l’extérieur. Alors, pour hisser son éclat au zénith, on cultive la sérénité. Et si au lieu de rentrer nous allions nous mettre l’esprit entre parenthèse lors d’un cure bien-être ?

Pour échapper à l’ultra-connexion le besoin de se ressourcer est intense. On remet en question la façon d’aborder sa vie, de faire les choses … Pour cela il faut prendre le temps de se poser, d’aller en territoire inconnu… apprendre a se poser, gérer sa respiration, se recentrer, détendre sa masse musculaire, reprendre contact avec son corps … se laisser traverser par l’émotion !

Et même avec des petites intentions nous pouvons nous sentir mieux. Un cosmétique qui réconforte, un parfum rassurant, un peeling qui donne l’éclat des 25 ans…

Déjà pour garder le teint frais il est primordial de correctement se nettoyer la peau sans l’agresser, donc adieux cotons mais plutôt une huile ou une pâte nettoyante.

Appliquer des vitamines et antioxydants pour booster ses propres défenses et conserver le collagène, surtout depuis que la cosmétique est devenue « individualisé ». De l’égoïsme ? Non du bon sens !

Pour ma part, je vous laisse pour m’évanouir sous un arbre et préparer mes prochaines envolées… lyriques !


Thomas Josse 

Contact communication : agencethomasjosse@gmail.com
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UNE NOUVELLE TECHNOLOGIE POUR REDESSINER L’OVALE DU VISAGE ET SUPPRIMER LE DOUBLE MENTON ?

Miroir, miroir qui est le plus beau ? Cette phrase pourrait résumer notre envie de « beauté », sauf qu’elle est injuste, étrangère au mérite, à l’effort, à toutes ces vertus humanistes que nous chérissons et ramasse la mise avec une scandaleuse désinvolture.
Heureusement, avec un peu d’investissement nous pouvons vite atteindre le charme, qui lui ne vieillit pas, car il dure, c’est l’humanité même, qui magnétise, tisse et crée du lien. 


Bon d’accord, le médecin esthétique y participe partiellement grâce à des techniques misant sur l’équilibre, l’harmonie et la lumière.

Du flash ? Clic-clac c’est le déclic que l’on attend… et que l’on n’entend pas, plus parce que les appareils photos sont devenus numériques.

Dérober le moment, le figer, le garder, le stocker et le revivre plus tard. Pourquoi une telle obsession, dans ce monde d’accélération constante et de saturation de la mémoire ?

Devant son écran, voilà venu le temps des selfies et avec, les problèmes d’estime de soi, qui n’est pas qu’une affaire d’intimité, de soi à soi, surtout avec cette surexposition. Faudrait-il placer un filtre ? Où plutôt se pencher sur le Profound ?

« prō-,prəˈfound » un nom non traduisible, qui est-il ? D’où vient-il ? 


D’emblée il nous dit qu’il redessine l’ovale du visage, supprime le double menton et lisse le cou sans chirurgie ? Ah bon ? Encore un combat médecine Vs chirurgie esthétique ? 

Faut-il passer le stade du bloc, puis la période de repos ? Comment est-ce possible dans une ère qui avance si vite ?! Peu importe, la conclusion devrait toujours être « Less is more ». Et ça tombe bien puisque Profound est la première technologie à démontré son efficacité sur la tonification de la peau relâchée et sur la création d’un nouveau volume dermique avec un 1er constat clinique établi sur la néo-élastogénèse profonde, sans oublier la preuve clinique apportée sur le renouvellement de l’élastine, du collagène et de l’acide hyaluronique. 



Comment la technologie fonctionne ? 

La technologie Profound provoque de manière très précise des agressions au niveau du derme, induisant une action réparatrice anabolique qui stimule la production de collagène et d’élastine à un degré inégalé.

Ce procédé assure systématiquement une peau plus jeune, plus souple et plus rebondie. Il s’applique même aux trentenaires qui souhaitent se prémunir contre le relâchement cutané et la perte de volume !

Pourquoi pouvons-nous dire que cette technologie Profound est si différente ? 

Ce dispositif apporte une grande satisfaction côté médecin, et côté patient pour une taux de réussite de 100% pour le traitement des rides, et de 95% pour le relâchement cutané du visage. 47% des patients ont même constaté une amélioration significative, voire considérable, de l’aspect général de la peau ( Traitement du relâchement cutané des bajoues, des joues, de la zone sous-mandibulaire (double menton), des rides et autres problèmes de texture de peau. )



Le point avec le Docteur Simon Lamquin, Médecin esthétique à Cagnes sur Mer 

Cette technologie est intéressante puisqu’elle provoque de manière précise des agressions au niveau du derme, induisant une action réparatrice anabolique qui stimule la production de collagène et d’élastine à un degré inégalé.

Ce procédé assure systématiquement une peau plus jeune, plus souple et plus rebondie. Il s’applique même aux trentenaires qui souhaitent se prémunir contre le relâchement cutané et la perte de volume.

Bon nombre de personnes constatent des signes de vieillissement lorsque la peau perd de son élasticité et commence à se relâcher au niveau du visage, des maxillaires et du cou.

Le vieillissement intrinsèque – à savoir, le processus de vieillissement naturel – est un processus continu qui commence généralement aux alentours des 25 ans.

Toutefois, bon nombre de dispositifs basés sur une délivrance d’énergie ne sont pas en mesure de garantir de réelle efficacité clinique en raison de lacunes techniques avérées dans leur conception, et en raison du manque inhérent de reproductibilité des résultats.

Le traitement Profound est associé à un taux de satisfaction de 100% pour les rides, et de 95% pour l’élasticité de la peau six mois après le traitement.

Résultats issus d’une étude clinique menée auprès de 20 patients, qui a mesuré l’amélioration de la peau à trois mois, selon l’échelle de Fitzpatrick.

——


Je termine cet article sans perdre de vue que nous devons avoir une vision d’ensemble de tous les facteurs qui entrent en jeu dans le vieillissement « Cellules, ADN, gènes, molécules, protéines… ». 
Pour le moment, le processus complexe du vieillissement n’a pas livré tous ses secrets, alors pourrait-on imaginer fabriquer un jour le remède contre ce vieillissement ? Et même la mort tant que nous y sommes ? La mort de la mort, dirait Google…

Thomas Josse 


Continuer l’aventure ; https://syneron-candela.com/fr/product/profound

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Bonjour le monde médical!

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PLONGEONS DANS LE 16 ÈME CONGRÈS AMWC2018 AU LARGE DE LA CÔTE D’AZUR ; MONACO !


Nous y revoilà, un an après la dernière édition me voilà à l’aéroport attendant le Paris-Nice, 1h de vol pour atteindre enfin la formule de l’éternelle jeunesse ? J’ai envie d’y croire même si au fond de moi je sais que ça ne sera que partie remise.

Je pense déjà aux milliers de mots échangés sur les chemins de commerciaux passionnés ou vendeurs de poudres d’étoiles, de scientifiques avertis ou du dimanche, de médecins promettant un rajeunissement ultime à des patients cherchant indéfiniment à vaincre cette horloge du temps.

Ce rassemblement est certainement l’un des plus attendus de l’année, la raison est simple; l’horizon, la mer, le soleil, les retrouvailles autour de soirées monégasques et puis évidement le programme scientifique toujours aussi complet.

Certains vont penser que ce rassemblement est une récréation, d’autre le « clac » de lancement de la belle saison tandis que les plus assidus attendent ce rassemblement pour écouter les 57 sessions scientifiques, soit + de 350 communications réparties sur 3 jours dans 7 salles de conférence en parallèle avec la participation de plus de 350 orateurs internationaux.

Il en fallait du souffle pour arpenter plus de 300 entreprises exposants sur + de 14 000m2…

Les mauvaises langues vont dire que je détaille la plaquette de présentation, mais pour moi je place le contexte. Qui des le départ nous fait prendre conscience que nous ne sommes pas dans un congrès de province mais bien dans la Mecque de l’esthétique médicale et chirurgicale. 



On ne fait jamais le même voyage dans ce congrès. Riche, complexe, énigmatique, intense, ce lieu d’exposition sans plan très clair offre mille possibilités de se perdre et de se retrouver. La délicatesse cohabite avec l’effervescence : la profondeur avec la superficialité.

Ce cadre mouvant tellement inspirant pour ces professionnels de l’esthétique médicale et chirurgicale était donc le décor rêvé pour des rencontres passionnantes autour de techniques presque futuristes.

Et-ce que le seul pouvoir inaccessible à la fortune qui est la beauté était la seule préoccupation de l’ensemble des participations ? Et si non qu’elle pourrait être la motivation de ces milliers de visiteurs venus des 4 coins du monde ?

Le patient ?! Une chose est sûre il était le centre des préoccupations en cette 16 ème édition du congrès Mondial de Médecine Esthétique & Anti-Aging «AMWC » qui s’est tenu du 4 au 7 avril 2018 à Monte-Carlo.

Puisque « la sécurité des patients » était le thème principal de cette édition 2018. Les normes CE médical, l’agrément FDA, les études cliniques, le recul nécessaire…sont autant de thèmes entendus dans la bouche des médecins que des commerciaux. 

Le patient doit-il se rassurer à l’heure du Made in China, et de la montée de l’exercice illégale de la médecine esthétique par des esthéticiennes ? La réponse se veut rassurante ! 



Nous avons pu constater que parmi les évolutions les plus remarquables, la fiabilité des produits injectables, aujourd’hui soumis à des conditions de mise sur le marché plus strictes, sous l’impulsion des Pouvoirs Publics européens, américains et asiatiques. 

Le développement d’une approche globale et donc de nouvelles techniques d’injection ont également amélioré la sécurité des traitements. En engageant les praticiens à approfondir leurs connaissances en anatomie, ces évolutions ont contribué à réduire de façon significative les risques d’incidents opérateurs dépendants tout en offrant de bien meilleurs résultats. 


Les 2 grandes nouveautés prédominantes ? 



La gynécologie évolue depuis quelques années vers le traitement des problèmes fonctionnels (dyspareunie, anorgasmie, etc.) et esthétiques (labiaplastie, etc.). Cette spécialité en plein essor marque sans doute la fin d’un tabou.

La médecine préventive et anti-âge évolue elle aussi chaque jour grâce aux avancées des connaissances en matière de vieillissement pour une longévité en bonne santé. On estime que dans les pays développés, l’espérance de vie pourrait atteindre 120 ans en 2050 ! Mais à l’heure où l’espérance de vie en bonne santé tend à baisser après 60 ans, il va falloir non seulement redresser la courbe, mais l’amener à des sommets jamais atteints.

Quel intérêt de vivre plus vieux si on est fortement diminué ? Des centenaires alertés et préoccupés par leur image ? Le challenge est de taille ! 

La prévention active des maladies est certainement une des préoccupations majeures de nos contemporains qui y songent maintenant de plus en plus tôt, évitant de subir la dégradation de nos différents systèmes physiologiques menant à la maladie. 

La logique n’étant plus juste de dépister une maladie à travers un simple bilan ou Check-Up, mais faire une vraie médecine de prévention active grâce aux technologies issues de la physiologie.

S’il y a bien un moment où la prévention anti-âge n’est pas de mise, c’est lors des nombreuses soirées où le carton d’invitation est devenu convoitise. J’ai pu participer à celle organisée au palace l’Hermitage par un laboratoire Suisse.



Les convives étaient à leurs places sous ces lustres d’or et cette musique éléctro. 

Je me suis posé à côté de deux femmes. Assises face à son double. Elles sont là, face à face dans une conversation étrange, étonnante, émouvante portant sur le transhumanisme. 
C’est la rencontre, le moment de la rencontre. Une certaine fascination émane de la réplique robotique quasi parfaite de l’une des femmes. Entre magie et réalité, l’illusion parfaite d’un milieu peuplé d’êtres « cybernétiques » et humains me parcours l’esprit, cette rencontre constitue-t-elle un prélude à la société à venir ?

Et si ces femmes étaient des cyborgs ? Il est vrai que les lèvres n’étaient pas « réelles » mais peut-on se fier à ce détail ? Et au final, de quoi est constitué un robot ? d’une peau en silicone enveloppant un squelette métallique, des câblages et des capteurs. Le cerveau est quant à lui, une base de données remplie d’informations numérisées et enregistrées. En mémoire des informations numérisées et enregistrées.

Le robot garde en mémoire tous les souvenirs, attitudes, croyances d’un réel humain, d’une vraie femme, et, grâce à un système informatique complexe configuré d’une intelligence artificielle, elle « pense », simule son existence, croit « être ».

Alors qui me dit que cette discussion était « humaine » ? 

 La complexité de cette question balbutie encore dans ma tête d’humain, avec comme sentiment que cette fascination pour la machine va nous conduire vers les chimères de l’immortalité. Quoi qu’il arrive, cette avancée nous laisse entrevoir le cadre d’une vie que nous dessinons aujourd’hui pour nos descendants.

Le mot qui résume cette édition ? « continuité », pour la profession, la continuité c’est l’évolution, pas la révolution, et c’est tant mieux pour les patients !

Thomas Josse 

Contact communication : agencethomasjosse@gmail.com

Poursuivre l’aventure : https://www.euromedicom.com/en/home.html 


Bravo à l’agence Nat’Communication pour le professionnalisme de l’organisation du support “presse-médias” 
L’AMWC 2018 accorde une reconnaissance spéciale à Taiwan pour sa contribution à l’avancement de la médecine anti-âge mondiale. Taiwan est l’un des pays les plus dynamiques du monde en médecine esthétique, stratégiquement situé entre l’Asie de l’Est et du Sud-Est. 
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LA VITAMINE D, OUI MAIS QUAND ET COMMENT ?



Lors des beaux jours la vitamine D est toujours mise à l’honneur, mais saviez-vous qu’il est possible de s’en supplémenter sans pour autant s’exposer au soleil ?

Nous sommes conscients de l’insuffisance et de la carence en vitamine D dans toutes les populations : 50 à 80 % de la population serait déficitaire. Pour être encore plus précis l’insuffisance en vitamine D peut être définie par un taux dans le sérum sanguin inférieur ou égal à 30 ng/ml (50 nmol/l) et la carence par un taux inférieur ou égal à 10 ng/ml.

Les valeurs souhaitables en vitamine D se situent entre 60 et 80 ng/ml. Tous les experts internationaux s’accordent à dire que les supplémentations recommandées par les autorités de santé sont donc insuffisantes !

Nous sommes aussi conscients que cette même vitamine D, qui est en réalité une hormone, prévient certains cancers et améliore certaines fonctions de l’organisme.
Comme en démontre son importance dans le métabolisme osseux dont nous le savions depuis longtemps mais des publications récentes ont rapporté de nombreux effets extra-osseux potentiels de la vitamine D.

L’administration de vitamine D permet de réduire le risque de fractures non vertébrales, d’améliorer la fonction musculaire et de réduire le risque de chutes pour un taux dans le sérum sanguin de 25OHD de l’ordre de 30 ng/mL (soit 75nmol/L).

On a mis en évidence des associations entre l’apport de vitamine D et la réduction de la mortalité, de certains cancers, des infections, des maladies inflammatoires (diabète, sclérose en plaques), des maladies cardiovasculaires, des maladies neuro-dégénératives et peut-être de l’arthrose. Mais il n’existe pas d’essais randomisés actuellement publiés permettant de prouver qu’il existe des liens de causalité.

En outre, les taux dans le sérum sanguin nécessaires pour obtenir de tels effets ne font pas consensus, car étant variables d’une personne à l’autre. Il est cependant nécessaire d’assurer un taux optimal de 25-(OH)-D chez tous les sujets, dans un esprit de prévention générale.




Pour rappel, plus de 200 gènes sont sous contrôle directe ou indirecte de la vitamine D. Presque toutes les cellules expriment le récepteur pour la vitamine D.

Ainsi, de nombreuses cellules du cerveau, de la prostate, du sein, du côlon et du muscle ainsi que les cellules de l’immunité possèdent des récepteurs. Ceci indique que le système vitaminique D a des actions beaucoup plus généralisées qu’un simple régulateur du transport de calcium impliqué dans l’ostéoporose ou le rachitisme.

Il est important de retenir que la vitamine D régule la prolifération des cellules saines et cancéreuses, leur différenciation, leur apoptose (suicide cellulaire) et leur angiogenèse. Elle participe, par exemple, à la régulation des gènes permettant de synthétiser des protéines nécessaires à la matrice cellulaire et à la jonction entre les cellules, mais également à la régulation des gènes intervenant dans la réparation de l’ADN et activant des systèmes anti-oxydants, ou encore, à la régulation de gènes intervenant dans la régulation de l’immunité.

Vous savez très certainement que la vitamine D est synthétisée naturellement par la peau, plus précisément dans les couches profondes de l’épiderme sous l’effet des rayons UVB. 

Mais attention, la synthèse cutanée de vitamine D3 est diminuée par l’âge et par certaines conditions d’exposition cutanée (durée d’exposition solaire, tranche horaire, saison, latitude, habillement, pigmentation de la peau, utilisation d’écrans solaires, pollution de l’air, poids et âge). La prévalence de l’insuffisance en vitamine D est paradoxalement élevée dans les pays où l’ensoleillement peut être important, du fait d’un excès de protection, d’origine culturelle ou non.
Il faut aussi savoir que la concentration de vitamine D dans les couches profondes de l’épiderme diminue avec l’âge.

Le problème qui vient immédiatement à l’esprit est que le soleil a également des effets délétères régulièrement dénoncés et cela nous amène à réfléchir s’il n’y a pas d’autres sources possibles de vitamine D ? N’y aurait-t-il pas d’autres moyens pour en bénéficier ?

Les aliments contenant de la vitamine D sont peu nombreux et l’effet des apports alimentaires ou médicamenteux sur la concentration de la vitamine varie avec le poids et surtout la masse grasse.

De nombreux experts pensent que les valeurs de référence actuellement admisses sont trop basses et que les supplémentations recommandées sont insuffisantes, ce qui a amené une nouvelle approche pour l’établissement de ces valeurs de référence.

Les deux conséquences principales de cette nouvelle définition du seuil d’insuffisance en vitamine D sont :


L’insuffisance en vitamine D est très fréquente et en particulier en Europe. Suivant les populations testées et la période de l’année, près de 100 % des individus ne recevant pas de supplémentation, ont une concentration dans le plasma sanguin de vitamine D inférieure à 30 ng/mL. Tout le monde ou presque est naturellement carencé en vitamine D.

Les apports nutritionnels conseillés (ANC) pour la vitamine D (400 U/j pour les sujets de moins de 65 ans et 600 U/j pour ceux de plus de 65 ans) sont insuffisants pour atteindre cette cible minimale de 30 ng/mL et il faut donc envisager des doses plus importantes.

Il est légitime alors de se poser la question d’un éventuel surdosage. La vitamine D est en effet potentiellement toxique. Un excès de vitamine D favorise l’augmentation de l’absorption intestinale du calcium donc des risques d’hypercalcémie avec en particulier des risques rénaux potentiels.

Plusieurs études ont par ailleurs démontré que des doses journalières de vitamine D largement supérieures aux ANC (plus de 4 000 UI/J) sont sans conséquence sur le risque rénaux.

Ainsi certains auteurs parlent de valeurs « souhaitables ». Elles sont de 30 à 60 (voire 80) ng/mL (soit 75 à 200 nmol/L). La limite supérieure a été choisie arbitrairement pour être suffisamment éloignée de la zone de toxicité potentielle.

EN CONCLUSION, QUEL DOSAGE FAUT-IL POUR MONTER LA CONCENTRATION CHEZ PLUS DE 95% DE LA POPULATION SANS RISQUE ?

On pourrait faire une recommandation théorique et disant que pour obtenir une concentration entre 75 et 220 nmol/L, il faut donner 3 800 UI de vitamine D3 par jour si la concentration de base est > 55 nmol/L (22 ng/mL) et 5 000 UI par jour si la concentration de base est < 55 nmol/L.
Mais une telle recommandation ne tient pas compte des particularité de chaque personne…

Enfin, pour les adeptes du soleil, sachez qu’une exposition modérée des bras et des jambes au soleil, 5 à 10 minutes tous les jours, conduisant à un érythème chez les personnes qui portent uniquement un maillot de bain, est équivalente à l’injection approximative de 20 000 unités de vitamine D ! 


Thomas Josse

Contact communication ; agencethomasjosse@gmail.com
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20 ANS DE CÉLÉBRATION DE LA BEAUTÉ MÉDICO-CHIRURGICO ESTHÉTIQUE !

Début février, l’IMCAS a réuni les plus grands experts internationaux afin d’échanger sur leur vision globale et d’analyser les avancées majeures de ces deux dernières décennies.

En 20 ans, les normes de la société ont changé. Paraître rime avec bien-être et la prévention du vieillissement est le nouvel impératif.

La tendance n’est plus tant de rajeunir que d’être en harmonie avec soi. Retrouver un visage tonique, paraître énergique et conserver son pouvoir de séduction, avec des méthodes combinées minimales invasives (fils tenseurs, injectables, peelings, radiofréquence, LEDs, Photothérapie dynamique, produits de comblement…).

La patiente veut donc des traits reposés mais pas tirés, une peau de jeune fille mais sans l’acné juvénile, une poitrine avantageuse mais sans les compliments ( loi anti harcèlement ), un nez passant inaperçu et sans l’aspect « trompette » si tendance aux US.

En 20 ans la demande a évolué, nous sommes passés des absurdités du Too Much (bouches de mérous, pommettes XXL, front trop lisse, poitrines trop gonflées dont la non authenticité est reconnaissable par tous), à la folie de l’hydratation, en passant par le coup d’éclat façon retour de week-end pour voir apparaitre aujourd’hui dans toutes les bouches, un aspect défatigué !

Ces patientes savent-elles que la fatigue peut les atteindre sous de multiples formes : durant la journée, pendant un mois, sur une saison ou encore à l’année. Nous devrions donc identifier les états de fatigues pour s’appuyer sur des traitements efficaces.

Cette célébration de 20 années a permis de suivre et d’anticiper l’évolution du marché et de comprendre l’’importance, de tous temps, de la demande de beauté et de jeunesse des patients.

La seule différence est la diversité des solutions aujourd’hui qui suivent les grandes tendances, et la révolution des injectables, qui par un acte simple et ambulatoire, permet de satisfaire une demande de rajeunissement sans passer par la case bistouri.

Cette innovation a certainement modifié l’approche du chirurgien esthétique, répondant alors à une demande de patients ne voulant plus de longues évictions sociales ni d’actes lourds.

Illusion d’optique ? Nous ne pouvons plus prétendre que l’injection de produit de comblement serait la seule et unique réponse à toute les indications cela serait réducteur et nous conduirait face à une orde de visages lunes !

Les injections de produit de comblement jouent un rôle essentiel dans le rajeunissement du visage, mais également dans la prévention du vieillissement. En effet, injecter plus précocement, évite, ou au moins retarde l’apparition des rides et des pertes de volume.

La chirurgie reste une valeur sûre et incontournable. Elle a intégré les technique de médecine esthétique, qu’elle utilise pour affiner et embellir son résultat.

Si la Lipoaspiration est toujours la 1ère intervention en chirurgie plastique dans le monde, le lifting est encore aujourd’hui irremplaçable pour redessiner l’ovale ou retendre le cou. Le geste se fait plus doux, s’associe à d’autres techniques et les suites sont plus courtes. En 2018, une chirurgie est réussie, quand le résultat est naturel avec une apparence en forme et rafraichie.

Le culte du corps est le nouvel eldorado. La recherche d’un corps parfait, une peau raffermie sans vergetures, ni capitons, grâce aux progrès vertigineux des nouvelles technologies, cryolipolyse, en tête, ultrasons, radiofréquences, lasers, surtout ceux qui ont un effet direct au plus près du derme. Dernière tendance, une demande en forte augmentation, la chirurgie de l’intime.

En 2018, c’est le boum de l’augmentation des fesses et de celle plus légère des seins chez les femmes ; chez les hommes on redessine les pectoraux.

Au-delà des tendances, cette 20 ème édition de l’IMCAS est un repère apprécié par l’ensemble des professionnels recherchant des réponses à des questions alliant « les fils tenseurs sont-ils efficaces ? » « la cryolipolyse est-ce rentable ? », « l’inducteur tissulaire, l’inducteur collagénique quelle différence ? », « la rhinoplastie ultrasonique c’est quoi ? » jusqu’aux échanges entre experts du monde entier ayant l’envie de se perfectionner.

Autant de questions que d’occasions de se rencontrer entre 8000 participants, et 700 speakers experts de 85 pays, contribuant au rayonnement international de ce congrès d’enseignement organisé ces dernières années en Chine, en Corée, à Taiwan, en Indonésie, en Inde, ainsi qu’en Colombie et au Mexique. Cette année 2018 : L’IMCAS s’exporte à l’international avec l’IMCAS America (Cartagena) et IMCAS Asia (Seoul).

L’IMCAS 2018 c’était aussi l’occasion de découvrir des innovations technologiques comme l’imagerie médicale, la 3D, la réalité augmentée, la e-santé qui deviennent incontournables pour expliquer les techniques et évaluer les résultats. Quant à la Robotique, elle apporte une précision du geste inégalée à commencer par la chirurgie du sein.

L’espérance de vie en bonne santé a augmenté, passant de 47 ans en 1950 à 85 ans. Elle nous laisse le temps de profiter de ces merveilleuses avancées et traitements disponibles chez son praticien.

Saviez-vous qu’hormis l’allongement de l’espérance de vie, la jeunesse s’est considérablement élargie : l’âge d’accès à l’âge adulte est devenu beaucoup plus long. La vieillesse mais aussi les phases de transition se sont elles aussi allongées.

Pour certains, la vieillesse est une maladie. Alors comment bien vieillir ? Le praticien esthétique devra-t-il rapidement ajouter une corde à son arc et ne plus traiter uniquement l’apparence du patient ?

Pourrons- nous rajeunir et se soigner avec nos propres cellules ? Certainement ! La France est à l’avant-garde de la recherche en médecine régénérative qui devient de plus en plus efficace et pas seulement en esthétique !

Pour ma part, je préfère croire que le vieillissement n’est pas une fatalité. Puisque de nombreuses personnes voient dans le futur l’arrivée de l’immortalité, la vraie, celle qui fait que non seulement on ne vieillit pas mais on ne meurt plus jamais: est-ce une utopie ? La mienne à coup sûr !

Rendez-vous pour la prochaine édition 2019, parlerons-nous toujours de beauté, de prévention ou même d’immortalité ?



L’IMCAS c’est quoi ?

A PROPOS DE L’IMCAS


L’IMCAS Paris est l’un des plus importants congrès mondiaux dédiés à l’interface entre la chirurgie et la dermatologie esthétique. Depuis 20 ans, l’IMCAS s’efforce de promouvoir un enseignement de qualité accueillant plus de 8000 participants, les leaders d’opinion les plus influents, et 700 speakers experts. Les participants de l’IMCAS Paris, traduit en Anglais, Russe et Chinois, viennent de plus de 85 pays, contribuant au rayonnement international de ce congrès d’enseignement organisé ces dernières années en Chine, en Corée, à Taiwan, en Indonésie, en Inde, ainsi qu’en Colombie et au Mexique.

A l’occasion de ses 20 ans, l’IMCAS lance le 1er Forum de l’Innovation Esthétique Médicale, pour la première fois en dehors des USA, en partenariat avec le « Dermatologic Summit » et le « Masters of Aesthetics ».

Au cours de la session « Shark Tank » Vendredi 2 février de 14h20 à 16h00, un best of des Start-Ups les plus prometteuses présenteront leurs projets dans les domaines de la recherche esthétique, dermatologie et chirurgie esthétique. Les IMCAS Innovations Awards seront décernés aux projets les plus innovants.

L’IMCAS s’exporte depuis 8 ans, à l’international avec plusieurs autres congrès par an : IMCAS India (Goa), IMCAS Asia (Seoul & Bali alternativement), IMCAS China (Shanghai) IMCAS Americas (Cancun & Cartagena).

L’IMCAS est aussi leader dans l’enseignement digital à travers IMCAS ACADEMY, avec plus de 2000 vidéos produites chaque année pour près de 12000 docteurs connectés.

Thomas Josse

Poursuivre l’aventure ; https://www.imcas.com/fr/academy/home

Contact communication : agencethomasjosse@gmail.com

Merci à l’agence de presse de l’IMCAS Patricia Benitah pour son implication et son écoute !

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UN VENT DE JEUNESSE SUR LA CHIRURGIE

« Plastique », matériau polymère, synonyme de silhouette, des arts plastiques, d’une  catégorie artistique regroupant les activités esthétiques maniant les formes et les volumes telles la sculpture et la peinture.

Plastique peut signifier aussi une capacité à modeler après le point de non-retour et avant la rupture. Sans chercher de point de non rupture le chirurgien doit avant tout comprendre la demande psychologique du patient avant de comprendre sa « plastique ».


Quelle différence entre le chirurgien plastique et esthétique ? 



La chirurgie plastique est définie comme étant la chirurgie de la peau et des tissus mous, non viscéraux.

La chirurgie plastique englobe la chirurgie esthétique et la chirurgie réparatrice. La chirurgie esthétique apporte une transformation du « normal » au « beau » tandis que la chirurgie réparatrice répare un défaut (malformation congénitale, morsure, reconstruction mammaire suite à une mastectomie etc.)

C’est par cette définition que je me suis intéressé au terme « plastique » dans l’univers du chirurgien. Et comme le hasard ne fait pas mal les choses j’en ai rencontré un, il fait même partie de la jeune génération !

Avant de l’interviewé en bord de mer, dans la plénitude d’une ville bourgeoise , entre les pages d’histoire napoléonienne , et l’engouement des générations de surfeurs. Où il vit un exil vivifiant, teinté d’émerveillement.

Je vais me pencher sur le terme « jeunesse » . 

La jeunesse a souvent été apparentée à la chirurgie, cette recherche désespérée de nombreux patients laisserait-elle la place à des demandes nettement plus raisonnées ?

Embellir, défatiguer, rafraichir, être en forme, voilà les termes entendus dans les offices. « Docteur je ne veux pas paraître épuisée ». Même si Madame ne dors que 5 heures par nuit, n’entendrait-elle pas les cris des experts du sommeil ?

Le chirurgien doit trouver une parade, un quelque chose à proposer en cherchant dans sa boite de pandore, comme l’artisan recherche dans sa caisse à outils.

Les outils du chirurgien ne seraient rien sans son oeil, son analyse, sa justesse, même s’il peut manquer parfois d’un support psychologique face à un patient de plus en plus tiraillé par une apparence devenue objet de convoitise.

L’apparence peut nous fait perdre nos repères, nous interroge sur notre interprétation mais aussi notre rôle dans une société marquée par l’apparence plutôt que l’être.

Le passage à l’acte, ou plutôt la prise de rendez-vous chez le chirurgien plastique est un élan, un détournement de l’attention pour montrer l’intention de changer, de s’améliorer, de plaire ou écartant le risque de déplaire.

Le praticien doit donc savoir répondre sans décevoir au risque de voir l’étoile sur Google.

Une autre difficulté du chirurgien, il doit joindre l’outil à l’agréable, puisque la patiente ne veut plus souffrir, elle voudrait du take-away, de l’acte de consommation courante qui répondrait avec justesse à son besoin de consommer sa silhouette.

Alors finalement l’envie de jeunesse éternelle fait-elle partie du passé ? Sommes-nous prêt à vieillir mais sans avoir l’air fatigué ?

Pour répondre à cette question direction la côte Basque, plus précisément dans ce genre de ville qu’est Biarritz.

Interview du Dr Florian Nadon, Chirurgie Maxillo-Faciale, Reconstructrice et Esthétique à Biarritz. 


Mon sujet d’article est jeunesse, et vous faites partie de cette jeune génération de praticiens Français, à votre sens cela représente plutôt une chance ou une étape à franchir pour gagner en crédibilité ? 

> Cela représente une véritable chance pour moi de pouvoir exercer ce métier passionnant. La chirurgie est une discipline rigoureuse, pointue et mieux vaut avoir de l’énergie à revendre pour faire face à la charge de travail au quotidien, à la nécessaire formation continue. 

Les évolutions perpétuelles nous imposent une remise en question permanente. Je pense que le plus difficile est évidemment de se maintenir à la pointe dans ce métier.

La chirurgie esthétique en particulier est exigeante car nous prenons en charge des patients « non malades » qui nous sollicitent pour corriger un trait jugé disgracieux ou les signes du temps. Nous n’avons pas le droit de nous tromper.

Le bagage acquis au cours des nombreuses années de formation nous aide en cela et nous apporte une certaine crédibilité. Mais c’est évidemment en avançant dans notre carrière que les patients, les confrères nous feront de plus en plus confiance, qu’une reconnaissance s’installera.

Votre métier, était-il une forme de conviction, d’auto thérapie, ou alors une vraie passion ? 


> Les études médicales nous permettent, au gré des stages, des expériences, de nous orienter progressivement et sûrement inconsciemment vers nos centres d’intérêts naturels. Pour moi, il était évident qu’il me fallait un métier manuel, technique et qui me permette d’assouvir une certaine passion pour la plastique, le beau.

La reconstruction est peut être la branche la plus noble ; quoi de plus gratifiant que d’avoir la possibilité de redonner forme et/ou fonction à un visage meurtri par la maladie, l’accident. Je me suis sur-spécialisé dans la prise en charge du visage car pour moi c’est la région du corps qui me permet d’agir sur le tégument en modelant son apparence, sa forme, ses ombres et ses reflets, son mouvement mais aussi « la quatrième dimension », celle du temps qui passe.
Mais encore fallait il avoir la chance de passer sans encombre les terribles examens classants et de se faire une place au sein des services hospitaliers.

Sur la côte Basque nous trouvons des femmes et des hommes plutôt séduisant(e)s, avez-vous une demande plutôt d’embellissement ou au contraire de « réparation » ? 


> C’est vrai qu’il existe sur la côte basque un certain art de vivre, un esprit californien. Bien manger, une vie saine, sport et culte du corps tiennent une place importante. Ceci est particulièrement en adéquation avec l’air du temps, ce qui attire beaucoup de monde. J’ai donc une forte demande de prise en charge à visée esthétique, non pas pour transformer mais toujours pour corriger avec subtilité et naturel des traits jugés disgracieux.

Ce soucis de naturel est heureusement LA tendance en esthétique en France, ce qui nous distingue de nombreux pays. Je réalise également beaucoup de reconstruction, essentiellement dans les suites de cancers de la peau. Ici, les gens sont très exposés aux effets du soleil, cause principale de ces maladies.

Que pensez-vous de cette course vers le corps parfait ? Avez-vous un secret pour refuser ou détourner une demande ? 

> Il est clair que nous vivons une époque où l’image tient une part très importante. Nos sociétés post industrielles sont plongées dans un magma d’écrans, de publicités, de sollicitations multiples pour nous faire consommer à outrance. Faut-il ressembler à ces canons de beauté étalés partout pour exister ?

Sûrement pas. Les réseaux sociaux et la mode des selfies ont exacerbé ce phénomène avec un élément important que l’on peut souligner : la standardisation des visages affichés (position du visage, mimique…) d’où en découle la standardisation des demandes en esthétique (lèvres pulpeuses, pommettes hautes, petit nez…).
Mais ce phénomène n’est pas uniquement le fait de l’époque, il est le propre de l’humanité.

De tout temps, les Hommes ont plébiscité des canons de beauté vers lesquels il fallait tendre. La seule différence aujourd’hui est que nous disposons de moyens incroyables pour y parvenir.

La course vers le corps parfait est donc inévitable mais elle ne doit pas se faire au prix du n’importe quoi.

Mon métier n’est pas de répondre à une demande de consommateur de chirurgie ou de médecine esthétique. Il consiste à orienter, conseiller. C’est la condition pour ne pas réaliser des gestes non adaptés qui pourraient nuire à notre pratique et à notre crédibilité. 

Je n’ai pas de secret pour détourner une demande. Je pense simplement qu’il est primordial d’instaurer le dialogue pour se faire une idée précise des attentes de la personne, de sa psychologie et ainsi de l’orienter non pas forcément vers sa demande initiale mais vers la prise en charge la plus optimale pour elle. 
Pour cela, il faut savoir prendre le temps: l’écouter, la comprendre et elle entendra votre avis. Ceci évitera l’insatisfaction du patient et pour le praticien de trahir ses propres convictions.

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Je repars avec mon enthousiasme à son égard, et me je me dis que la relève est assurée, le temps qu’il faudra, le temps de se poser la question si la jeunesse est vraiment derrière nous…


Thomas Josse

Contact communication ; agencethomasjosse@gmail.com