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POURQUOI L’HOMME MODERNE PASSE CHEZ LE MÉDECIN ESTHÉTIQUE »

Vous avez l’impression que l’homme est en reste en ce qui concerne son apparence ? Si vous avez l’impression c’est juste la presse qui a plus d’inspiration pour parler de la femme…

Pour 2018 les résolutions ont été plutôt sages, ou plutôt sportives, puisque le sport est le loisir préféré des Français, devant la lecture, la télévision ou encore la musique.

Le marché du sport représente même environ 37 milliards d’euros en France, soit près de 2 % du (PIB) national. Et si pour 2019 il fallait préférer miser sur la masculinisation de l’homme pour rester dans la course ?

Qui dit masculinisation ne dit pas obligatoirement « sur-musculature », au risque d’être « too much ».

À l’inverse le métrosexuel est-il toujours dans la course ? Les hommes sont-ils en train de perdre le pouvoir, de passer au second plan, de se laisser écraser par des femmes de plus en plus dominantes ?

Qu’entend-on par « masculinisation » ? Quelles idées fondent nos représentations du masculin ?

Une journaliste américaine, auteure de The end of men, qui nous affirme peu ou prou que ça y est, l’ère nouvelle est arrivée, les femmes ont des diplômes, des métiers bien payés, tandis que les hommes sont largués, ne pigent pas comment prendre leur nouvelle place, perdent leurs repères ! Ah bon ? Les lignes de l’identité masculines ont-elles bougé ? La domination masculine peut-elle aussi faire des dégâts sur les hommes ?

C’est quoi, être un homme ? Être un homme, jusqu’à présent, c’est surtout ne pas être une femme. La norme masculine en vigueur rejette ce qui est perçu comme « féminin », encense la « virilité », la force, le courage, la domination…

La représentation de la féminité, celle de la masculinité ne repose sur rien d’immuable : les identités de genre sont acquises, et non innées. De fait, bon nombre d’hommes pourront ne pas se sentir à l’aise face à ces injonctions à la virilité. Que se passe-t-il lorsque l’on ne peut et/ou ne veut pas se conformer à ces rôles masculins ?

Rassurez-vous l’homme idéal n’existe pas, mais pourtant de nombreux professionnels de l’image semble aller dans le même sens ; son visage doit avoir du caractère !

Au cours des temps immémoriaux, un homme attirant à des traits que l’on peut définir comme masculins: le nez droit, les mâchoires carrées, le menton prononcé, les sourcils épais.

Nous pourrions peut être même dire qu’il existe un visage masculin idéal ; une mâchoire carrée et un angle mandibulaire bien défini, un menton carré, prononcé et avancé. Une arcade sourcilière bien définie avec des sourcils horizontaux, bas, projetés vers l’avant. Des yeux étroits. Des pommettes hautes et rectangulaires.

Le front masculin, vu de profil, suit une ligne oblique du liséré du cuir chevelu aux sourcils avec une typique projection osseuse au niveau des sourcils. Un nez droit. Un rapport largeur/hauteur du visage élevé, soit un visage plutôt large avec une hauteur faible de la zone médiane.

Du côté de la médecine esthétique le but est de définir les traits sans apporter trop de volume ! Pour cela le praticien va pouvoir utiliser éventuellement le gel “Restylane Lyft ”  tout en combinant sur la partie haute du visage la toxine botulique ” Vistabel / Azzalure / Bocouture ”

Le corps n’est pas en reste avec le nouveau produit «  HYAcorp » qui a le mérite de dessiner des pectoraux pour ceux qui n’en sont pas assez dotés !

HYAcorp permet de corriger le volume des fesses et de les dessiner de façon à obtenir une forme sculptée, sans chirurgie et ça pour un résultat allant jusqu’à 24 mois !

Et du côté du bourrelet récalcitrant ? La cryolipolyse par Coolsculpting by Allergan ou Cristal by Deleo vont pouvoir en venir à bout !

Vous avez compris que la médecine esthétique pouvait vous apporter du caractère, mais rien n’est simple dans cette « masculinisation » puisque depuis peu, l’image du masculin vacillerait ; rien n’est bouleversé, rien n’est en crise, mais un changement pointerait timidement le bout de son nez : certains hommes s’approprieraient des caractéristiques jusqu’alors perçues comme non-viriles,… mais là c’est un autre débat ! On ne naît pas homme, on le devient » !

L’interview du Docteur Pierre Louis Roubelat, médecine esthétique, Cible Clinic, Paris 8ème

 

 

Lorsqu’un patient vient vous voir, quelle est sa demande la plus fréquente ?   

L’homme de 40 à 60 ans souhaite corriger les cernes ou les sillons nasogéniens, celui de 20 30 ans un défaut comme une bosse nasale ou accentuer les traits du contour par exemple avoir une mâchoire plus carrée ou un menton plus fort.

La demande la plus fréquente chez la patiente est de gommer des émotions négatives, tristes, fatiguées, qu’en est-il de l’homme ?

Pareil pour l’homme mûr qui veut être “ rafraîchi “ avoir bonne mine, ne plus avoir l’air fatigué ou triste. L’homme plus jeune demandera d’avoir l’air plus dynamique avoir un look plus viril.

Vous parlez souvent de masculinisation avez vous l impression que la prise en charge médico esthétique de l’homme est encore trop « féminine » ?

Moins maintenant, on a pendant des années transposé aux hommes les mêmes techniques d’injection de la femme, les mêmes produits injectés dans les mêmes zones anatomiques.

L’analyse du visage masculin au cours du vieillissement ou non, pour proposer un rajeunissement ou une amélioration des traits masculins doit s’appuyer sur les particularités anatomiques du visage de l’homme. Le choix des injectables et des techniques d’injection doivent être spécifiques à l’homme.

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Thomas Josse

Remerciement à Cible Clinic pour leur accueil mais aussi leur professionnalisme.

Poursuivre l’aventure ; https://www.cible-clinic.com/

Contact communication ; agencethomasjosse@gmail.com

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